Le texte souligne que « les transformations du monde agricole ne peuvent être renvoyées à la seule responsabilité des agriculteurs, même si certains d’entre eux ont été des fervents défenseurs de ce système » fondé sur le productivisme.
Il en appelle à la responsabilité des consommateurs, des responsables politiques et économiques et de tous les acteurs du monde rural pour soutenir « des actions alternatives » afin de « nourrir les hommes de manière équilibrée en quantité et en qualité ».
Source : La Recherche
