Pour se lancer à l’assaut du marché de soya non génétiquement modifié, il faut une discipline de fer allant du choix des variétés de soya, du taux de semis selon le potentiel des champs à l’application des pesticides jusqu’à la gestion des récoltes. Et cette discipline, les Brabant de Saint-Polycarpe la maîtrise.
Sécher du maïs est un art, selon le producteur Benoit Hébert. Un art parce qu’il faut cibler la température de séchage optimale en tenant compte des prévisions météo et des surfaces qui restent à récolter. Le tout sous un stress intense. Voici comment il fonctionne à sa ferme.
À lire aussi

C’est bientôt la Tournée des grandes cultures
La Tournée des grandes cultures, dont le but est d’évaluer le potentiel de rendement du maïs et du soya, aura lieu cette année le 19 août dans plusieurs régions du Québec.
La comptabilité, cette tâche tant détestée par certains producteurs, est maintenant simplifiée par l’utilisation du logiciel Aleop. Depuis qu’il l’utilise, le producteur de porc Jean-François Grenier de Saint-Léon-de-Standon trouve même ça amusant de faire de la comptabilité.
Dans le milieu agricole, rien de plus naturel de voir les enfants de producteurs s’investir et travailler pour l’entreprise familiale. Mais qu’en est-il de leur rémunération?? Doit-on les payer, et si oui combien?? Pour s’y retrouver, des spécialistes font le tour de la question.
Consultez le Guide semences soya 2020. Les semenciers y dévoilent leurs nouveautés pour la prochaine saison de même que leurs coups de cœur.
Vous n’êtes pas encore abonné au Bulletin des agriculteurs? Remédiez à la situation en cliquant ici.