Illinois (États-Unis), 19 novembre 2002 – Deere & Company (DE à la Bourse de
New York) a annoncé aujourd’hui que la productivité accrue de toutes ses
divisions avait augmenté ses résultats du quatrième trimestre. A l’échelle
internationale, la Société a enregistré un bénéfice net de 68,0 millions $ ou
de 0,28 $ l’action pour le trimestre, et de 319,2 millions $ ou de 1,33 $
l’action pour l’exercice clos le 31 octobre. Au trimestre et à l’exercice
À lire aussi

Le monde agricole déçu des engagements du gouvernement Legault
Les promesses agroenvironnementales et la tarification carbone ne sont pas à la hauteur des attentes de l’UPA et des Producteurs de grains du Québec. Entrevue.
320,1 millions $ ou de 1,36 $ l’action, et de 64,0 millions $ ou de 0,27 $
l’action.
La Société a assumé des coûts liés aux mesures de restructuration (qui
ont fait l’objet d’une annonce antérieure) pour toutes les périodes. A
l’exclusion de ces coûts, le bénéfice du quatrième trimestre s’est chiffré à
77,1 millions $ ou à 0,32 $ l’action, comparativement à une perte de
103,5 millions $ ou de 0,45 $ l’action pour l’exercice précédent. Le bénéfice
de l’exercice, exclusion faite de ces charges, a plus que doublé. Il a atteint
364,5 millions $ ou 1,51 $ l’action, comparativement à 152,6 millions $ ou
d’affaires et des produits d’exploitation nets.
« Les résultats du quatrième trimestre traduisent les améliorations
apportées dans chaque division », a déclaré Robert W. Lane, président du
conseil et chef de la direction. « Bien que le marché tourne au ralenti, la
réaction favorable des consommateurs à nos nouveaux produits a contribué à la
hausse des ventes et à une production plus efficace. Deere récolte les fruits
de ses projets visant à réduire les coûts et à maîtriser les immobilisations »,
l’exercice », a ajouté M. Lane. « Nous avons sabré dans les frais de recherche
et développement, tout en maintenant un programme de mise en marché dynamique
des nouveaux produits. Ces facteurs, en plus d’une réduction de 323 millions $
des comptes clients et des stocks, ont contribué à générer des rentrées
d’exploitation de 1,9 milliard $ pour l’exercice, ce qui surpasse de beaucoup
les résultats de 2001. Cela prouve que nos efforts ciblant l’amélioration de
notre fonctionnement à la base se concrétisent. Ils mèneront, nous en sommes
convaincus, à l’enrichissement durable de nos actionnaires », a-t-il conclu.
A l’échelle mondiale, le chiffre d’affaires et les produits
et 13,947 milliards $ pour l’exercice 2002, contre des résultats respectifs de
3,161 milliards $ au quatrième trimestre et de 13,293 milliards $ en 2001. Le
chiffre d’affaires net tiré des ventes d’équipement s’est élevé à
2,947 milliards $ pour le quatrième trimestre et à 11,703 milliards $ pour
l’exercice actuel, par rapport à 2,602 milliards $ et à 11,077 milliards $
pour l’exercice précédent. L’augmentation du chiffre d’affaires net
trimestriel s’explique principalement par la hausse des ventes d’équipement
agricole à l’étranger, mais également aux Etats-Unis et au Canada, ainsi que
par l’augmentation des ventes d’équipement commercial et résidentiel. La
progression du chiffre d’affaires de l’exercice est attribuable à la hausse
des ventes d’équipement agricole à l’étranger, principalement en Europe, à
l’effet des acquisitions moins les dessaisissements et à l’augmentation des
ventes d’équipement commercial et résidentiel. L’exercice est caractérisé par
une baisse des ventes d’équipement forestier et de matériel de construction
(exclusion faite des acquisitions), ainsi que des ventes d’équipement agricole
en Amérique du Nord. Le chiffre d’affaires réalisé à l’étranger a augmenté de
16 % pour le trimestre et de 19 % pour l’exercice, ce qui est surtout le fait
d’une hausse des ventes d’équipement agricole en Europe. Exclusion faite de
l’incidence des taux de change, le chiffre d’affaires enregistré à l’étranger
aurait progressé de 13 % pour le trimestre et de 18 % en cumul annuel.
Sommaire, par division, du bénéfice d’exploitation tiré de l’équipement
Dans le cadre du plan rigoureux de réduction des coûts et de
rationalisation des immobilisations mis en oeuvre par la Société, de
nombreuses mesures de restructuration ont été annoncées en 2002, dont la
fermeture de quatre usines, conséquence la plus significative. Ces mesures
s’ajoutent aux annonces faites au quatrième trimestre 2001, à l’égard d’un
régime spécial de retraite anticipée et de l’abandon de Homelite, qui
appartenait à la Société. La colonne ci-dessous, intitulée « Eléments
de restructuration :
Les activités liées aux divisions de l’équipement de Deere ont permis
d’accroître le bénéfice d’exploitation total pour le trimestre (exclusion
faite des éléments exceptionnels). Cette hausse s’explique, en grande partie,
par l’amélioration des prix réalisés, par l’augmentation du volume des ventes
et de la production, par un accroissement de la productivité, par les
réductions des dépenses et, enfin, par l’élimination des pertes liées à la
compensations versées à la division du crédit de la Société pour le
financement des comptes clients des concessionnaires. Conformément à une
annonce antérieure, les divisions d’équipement de Deere ont commencé à céder
une part importante de ces comptes clients à crédit à la fin de l’exercice
2001. Les résultats du trimestre ont également été affectés par la hausse des
charges de retraite. L’augmentation du bénéfice d’exploitation pour l’exercice
s’explique, dans une large mesure, par l’amélioration des prix réalisés, par
la réduction des frais et des dépenses, par la progression des ventes
d’équipement agricole ainsi que d’équipement commercial et résidentiel, de
même que par l’élimination des pertes liées à la division Homelite. Ces
facteurs ont été partiellement neutralisés par les compensations versées à la
division du crédit de la Société pour le financement des comptes clients des
concessionnaires, par les coûts supérieurs de mise au point des nouveaux
produits, ainsi que par les frais découlant de l’investissement de la Société
dans Nortrax Inc., opération spéculative concernant la gestion et la mise en
valeur de plusieurs concessionnaires de matériel de construction de Deere. Les
résultats de l’exercice ont souffert également de la hausse des charges de
retraite, ainsi que du fléchissement de la production et des ventes à la
division d’équipement forestier et de matériel de construction.
division de l’équipement agricole a augmenté de 12 % pour le trimestre et de
7 % pour l’exercice. La hausse trimestrielle est principalement attribuable à
la croissance du chiffre d’affaires inscrit à l’étranger, mais comprend
également l’amélioration constatée aux Etats-Unis et au Canada. Cette
augmentation en cours d’exercice traduit la hausse du chiffre d’affaires à
l’extérieur de l’Amérique du Nord, particulièrement en Europe, où un nombre
record de nouveaux produits a été lancé. Le chiffre d’affaires annuel a subi
un repli aux Etats-Unis et au Canada. La croissance du bénéfice d’exploitation
pour les deux périodes tient surtout de l’amélioration des prix réalisés, de
l’augmentation du volume des ventes et de la production, ainsi que de la
réduction des dépenses et des frais. Ces facteurs ont été partiellement
annulés par les compensations versées à crédit pour les comptes clients vendus
et par l’augmentation des charges de retraite. En outre, le bilan de 2002 a
subi la hausse des coûts de mise au point des nouveaux produits. Etant donné
l’engagement de la division envers une gestion resserrée des immobilisations,
la valeur des stocks appartenant à la Société ou se trouvant chez les
concessionnaires a diminué de 120 millions $ pour l’exercice, en dépit de la
fluctuation des taux de change.
l’équipement commercial et résidentiel a inscrit un chiffre d’affaires net en
hausse de 20 % pour le trimestre et de 7 % pour l’exercice. Exclusion faite de
l’écart entre les acquisitions et les cessions, le chiffre d’affaires net
s’est accru de 26 % et de 6 % pour les périodes respectives. Cette
amélioration des résultats d’exploitation au dernier trimestre, généralement
faible pour des raisons saisonnières, est principalement attribuable à la
hausse du chiffre d’affaires, à l’absence de perte enregistrée par Homelite et
à la baisse des coûts liés à la stimulation des ventes. L’amélioration du
rapport entre les rentrées de fonds et le profit depuis un an s’explique, en
grande partie, par l’absence de perte à Homelite, par une hausse du chiffre
d’affaires, par la baisse des coûts liés à la stimulation des ventes, par une
réduction des dépenses et par la réception des paiements à la suite d’une
demande de règlement en vertu d’une assurance-incendie. Ces facteurs ont été
contrebalancés, en partie, par le remboursement de certaines créances durant
les deux périodes. Les réductions de stocks appartenant à la Société ou se
trouvant chez les concessionnaires ont totalisé 204 millions $ pour l’année.
Malgré une conjoncture difficile, la division de l’équipement forestier et du
matériel de construction a déclaré un bénéfice d’exploitation au quatrième
trimestre. Le chiffre d’affaires net s’est accru de 10 % pour le trimestre et
a reculé de 1 % pour l’exercice. Exclusion faite de l’incidence des
acquisitions, le chiffre d’affaires net a augmenté de 1 % pour le trimestre et
a reculé de 6 % pour l’exercice. Les volumes de production des installations
principales ont augmenté de 7 % pour le trimestre et ont diminué de 8 % pour
l’exercice. La hausse du bénéfice trimestriel s’explique principalement par
une réduction des coûts et des dépenses, contrebalancés en partie par une
hausse des coûts liés à la stimulation des ventes. La détérioration des
résultats d’exploitation pour l’exercice est principalement attribuable à la
hausse des coûts de stimulation des ventes, à une hausse des coûts liés aux
investissements dans Nortrax, ainsi qu’à la baisse des ventes et des volumes
de production liés aux activités principales. De même, la hausse des charges
de retraite a eu un effet négatif sur les résultats annuels. Ces facteurs ont
été annulés en partie par une réduction des coûts et des dépenses.
deux exercices s’expliquent par les coûts liés au développement des nouveaux
produits et par l’amortissement de l’écart d’acquisition. L’amélioration des
résultats du quatrième trimestre et de l’exercice 2002 s’explique, en grande
partie, par une réduction des coûts et des dépenses.
plus élevé au quatrième trimestre, comme pour l’exercice complet.
L’accroissement des résultats trimestriels est principalement attribuable à la
hausse du bénéfice dégagé sur les comptes à recevoir des concessionnaires.
L’augmentation du bénéfice pour l’exercice s’explique par la hausse du
bénéfice sur les comptes à recevoir des concessionnaires, par des gains accrus
sur les ventes de billets de détail et par des marges d’intérêt plus
importantes, facteurs annulés en partie par des provisions plus élevées pour
mauvaises créances et par des pertes sur prêts relativement à la dévaluation
du peso en Argentine.
un bénéfice net plus élevé pour les deux périodes, en raison d’une hausse de
la demande. Les résultats de la division des soins de santé ont profité des
effets positifs d’une réduction des charges d’administration au cours du
trimestre.
Conjoncture du marché et perspectives
Compte tenu de la conjoncture du marché décrite ci-après, le chiffre
d’affaires net de la division de l’équipement devrait augmenter de 20 à 25 %
pour le premier trimestre 2003, par rapport à la période correspondante de
l’exercice précédent. Le bénéfice net à l’échelle de l’entreprise devrait se
situer entre 0 et 50 millions $. Conformément à une annonce antérieure,
Deere & Company prévoit que le chiffre d’affaires net de la division de
l’équipement se situera entre 8 et 10 % pour l’exercice complet et que son
bénéfice net se situera entre 500 millions $ et 600 millions $. Ce chiffre
tient compte d’une incidence favorable d’environ 50 millions $, après impôts,
à la suite de l’adoption de la norme SFAS 142 au premier trimestre, qui
élimine les frais liés à la survaleur.
L’estimation du bénéfice annuel de John Deere tient également compte
d’une hausse des charges liées aux prestations et aux avantages sociaux des
employés à la retraite, qui varient de 250 millions $ à 300 millions $ avant
impôts, en raison du rajustement des prévisions de la Société afin de tenir
compte des tendances récentes relativement à l’inflation dans le domaine
médical, aux taux d’intérêt et au rendement sur les titres. Par comparaison,
la Société a enregistré une hausse d’environ 115 millions $, avant éléments
exceptionnels, à l’exercice précédent.
au cours des dernières semaines, ils demeurent bien supérieurs à leur niveau
d’il y a un an et contribuent aux résultats positifs enregistrés à l’échelle
du secteur agricole. Aux Etats-Unis et au Canada, cependant, les ventes de
machinerie se maintiennent au ralenti en raison de la sécheresse et d’une
production végétale insuffisante dans nombre de secteurs importants. De plus,
même si les lois adoptées récemment favorisent une hausse des revenus des
agriculteurs, certains d’entre eux connaissent des problèmes d’encaisse en
raison des retards d’émission de paiements d’urgence par le gouvernement. En
conséquence, Deere prévoit que les activités de vente au détail ralentiront
peut-être au début de 2003, mais qu’elles prendront leur élan au moment des
semences et garderont un rythme élevé pour le reste de l’exercice. De plus,
des règles de dépréciation plus favorables pourraient exercer un léger effet
positif sur les ventes d’équipement agricole vers la fin de l’année civile
2002. Dans d’autres secteurs, les ventes réalisées par John Deere en Europe de
l’Ouest devraient augmenter en 2003, alors que la Société profitera des
retombées d’un accueil très favorable aux nouveaux produits, en plus
d’accroître sa présence dans cet important marché. Le chiffre d’affaires de
John Deere devrait reculer en Australie, en raison de la sécheresse qui
prévaut dans ce pays, tandis que le chiffre d’affaires enregistré en Amérique
du Sud devrait être comparable à celui réalisé l’an dernier, étant donné
l’incertitude économique qui perdure au Brésil. En raison de ces facteurs, le
chiffre d’affaires de la division de l’équipement agricole de John Deere
devrait augmenter d’environ 8 % pour l’exercice.
commercial et résidentiel de John Deere devraient augmenter d’environ 15 %
pour l’exercice. Une reprise des activités de ventes de détail, de même que le
succès de la nouvelle gamme de tondeuses à siège 100-series de John Deere, qui
sera lancée au printemps, pourraient contribuer à la réalisation de ces
prévisions. Le chiffre d’affaires devrait également profiter des effets
positifs d’une production correspondant mieux à la demande du marché.
de John Deere, les marchés de l’équipement forestier et du matériel de
construction continueront de subir les pressions exercées par le recul des
investissements commerciaux et par le fléchissement général des ventes aux
entreprises de location indépendantes. La léthargie caractérisant les marchés
mondiaux de la foresterie devrait également persister. Dans ce contexte, le
chiffre d’affaires tiré des ventes d’équipement forestier et de matériel de
construction de John Deere devrait augmenter d’environ 2 % pour l’exercice.
Exclusion faite des ventes réalisées au Canada et aux Etats-Unis en vertu du
partenariat de marketing établi entre John Deere et Hitachi, la division de
l’équipement forestier et du matériel de construction devrait constater une
baisse de son chiffre d’affaires d’environ 2 %.
devraient profiter d’un décroissement des radiations, de l’accroissement du
portefeuille de prêts et de la stabilité des marges d’exploitation. En
conséquence, le bénéfice net de la division du crédit devrait augmenter de
plus de 20 %, pour s’élever à près de 300 millions $.
Amélioration constante grâce à la maîtrise des coûts et à une gestion rigoureuse de l’actif
Selon Robert W. Lane, une gestion rigoureuse de l’actif et une
amélioration de l’efficacité d’exploitation, ainsi que l’expansion de la
clientèle ont permis à John Deere d’accroître son rendement de manière
significative. « Grâce à l’application de mesures récentes, la Société a
démontré qu’elle pouvait consolider sa rentabilité, malgré la stagnation
économique actuelle », a affirmé M. Lane. « Bien qu’il reste beaucoup de travail
à faire pour atteindre nos objectifs, nous avons amorcé un virage profitable
en apportant des améliorations fondamentales que nous pourrons maintenir tout
au long du cycle économique actuel, et qui pourraient nettement augmenter le
rendement du capital investi. »
John Deere Capital Corporation
Les renseignements suivants sont communiqués au nom de la filiale de
crédit de la Société, John Deere Capital Corporation (JDCC), conformément aux
exigences de présentation applicables à l’émission périodique de titres
d’emprunt sur le marché public.
Le bénéfice net de JDCC s’est élevé à 57,2 millions $ pour le quatrième
trimestre et à 230,6 millions $ pour l’exercice 2002, en comparaison d’un
bénéfice net respectif de 41,9 millions $ et de 157,8 millions $ pour le
quatrième trimestre et l’exercice 2001. L’augmentation trimestrielle du
bénéfice net est principalement attribuable à l’accroissement du bénéfice
réalisé sur les comptes clients des concessionnaires. De plus, l’augmentation
du bénéfice net de l’exercice est principalement attribuable à l’accroissement
du bénéfice réalisé sur les comptes clients des concessionnaires, à
l’augmentation des gains sur la vente de billets de détail et à une
amélioration de la marge des taux d’intérêt. Cependant, une hausse des
provisions pour créances irrécouvrables et des pertes liées à la dévaluation
du peso argentin ont partiellement neutralisé ces facteurs.
Le montant net des comptes clients et des contrats de location financés
par JDCC s’établissait à 11,240 milliards $ au 31 octobre 2002, en comparaison
de 11,790 milliards $ un an auparavant. Cette décroissance est imputable aux
ventes de billets de détail réalisées durant l’exercice 2002. Le montant net
des comptes clients et des contrats de location gérés, qui comprend les
comptes clients précédemment vendus, se chiffrait à 13,773 milliards $ au
31 octobre 2002, en comparaison de 13,242 milliards $ au 31 octobre 2001.
Déclaration de la règle refuge en vertu de la Private Securities Litigation Reform Act of 1995 :
Les déclarations du présent communiqué qui se rapportent aux périodes
d’exploitation futures sont soumises à des risques et à des incertitudes
importants, qui pourraient entraîner un écart notable entre les prévisions et
les résultats réels. Certains de ces risques et incertitudes peuvent entraîner
des répercussions sur des champs d’activités bien précis, tandis que d’autres
peuvent avoir une incidence sur l’ensemble des activités de la Société.
Ces énoncés prospectifs comportent certains facteurs pouvant faire
l’objet de changements, y compris, pour le secteur de l’équipement agricole,
les nombreux facteurs interdépendants qui peuvent influer sur la confiance des
agriculteurs, notamment la demande mondiale des produits agricoles, les stocks
mondiaux de céréales, les prix réalisés pour les produits de base et le
bétail, les conditions météorologiques et du sol, la valeur des biens
immobiliers, le niveau ainsi que le maintien des programmes agricoles
gouvernementaux, les maladies du bétail (dont d’autres cas de maladie de la
« vache folle » et de fièvre aphteuse), les parasites agricoles, le rendement
des récoltes et le volume des exportations de produits agricoles (notamment
les préoccupations à l’égard des organismes génétiquement modifiés). Le succès
de la récolte automnale et les prix réalisés par les agriculteurs pour les
récoltes influent particulièrement sur les ventes au détail d’équipement
agricole durant l’hiver.
Parmi les facteurs pouvant avoir une incidence sur les activités de la
division de l’équipement commercial et résidentiel de John Deere figurent la
conjoncture économique générale aux Etats-Unis, la confiance des consommateurs
et du secteur commercial, ainsi que les conditions météorologiques,
l’acceptation soutenue des nouveaux produits de la Société par les clients et
le maintien de leurs habitudes d’emprunt. Durant l’hiver, l’apport neigeux et
le régime d’enneigement peuvent également influer sur les ventes d’équipement
commercial et résidentiel.
Le nombre de mises en chantier, ainsi que le nombre de constructions
publiques et non résidentielles, est particulièrement important pour la vente
d’équipement forestier et de matériel de construction de la Société. En outre,
les prix de la pâte, du bois d’oeuvre et des panneaux de charpente revêtent
une importance particulière pour la vente d’équipement forestier.
L’ensemble des activités de John Deere subit les répercussions de la
conjoncture économique générale et de la stabilité politique des marchés
mondiaux dans lesquels la Société évolue (notamment le Brésil, l’Argentine et
les pays d’Amérique du Sud). En outre, les activités de la Société subissent
l’influence des politiques monétaires et fiscales de divers pays, des mesures
prises par le Federal Reserve Board et par les autres banques centrales des
Etats-Unis, des mesures adoptées par la Securities and Exchange Commission et
d’autres organismes de réglementation des Etats-Unis, des mesures prises par
des agences de cotation, des crises touchant les marchés financiers, de la
confiance des investisseurs, des taux d’inflation et de déflation, du niveaux
des taux d’intérêt et des taux de change, des habitudes d’emprunt et de
remboursement des clients, ainsi que du nombre de prêts en souffrance et des
défauts de paiement. D’autres facteurs englobent les stratégies des
concurrents dans les divers secteurs d’activités de la Société, notamment la
réduction des prix, les pratiques des concessionnaires, surtout en ce qui
concerne les niveaux de stocks d’équipement neuf et usagé, les difficultés
liées à la production et à la technologie, notamment les limites de capacité
et d’approvisionnement, les coûts d’énergie et d’approvisionnement, les
relations de travail, la modification des normes comptables, l’incidence du
terrorisme et les réactions qu’il suscite, les guerres et autres conflits
internationaux, ainsi que les lois régissant les secteurs d’activités de la
Société. L’importante fluctuation des coûts liés aux soins de santé ainsi que
de la valeur marchande des actifs de placement, qui se répercutent sur les
charges de retraite, peut également affecter les résultats de la Société.
Les perspectives de la Société sont fondées sur des hypothèses liées aux
facteurs décrits précédemment. Ces hypothèses reposent parfois sur des
estimations et des données préparées par des organismes gouvernementaux. Ces
prévisions et données font l’objet de fréquentes mises à jour. Toutefois, la
Société ne s’engage d’aucune façon à actualiser ni à réviser ses perspectives
à la suite de nouveaux événements ou pour toute autre raison. Pour obtenir de
plus amples renseignements sur la Société et ses activités, de même que sur
les facteurs qui pourraient influer notablement sur ses résultats financiers,
veuillez consulter le dernier rapport trimestriel de la Deere & Company
consigné sur formulaire 10-Q, ainsi que d’autres documents déposés auprès de
la Securities and Exchange Commission des Etats-Unis.
Au 1er novembre 2001, la construction de chargeurs automoteurs a
été transférée de la division de l’équipement commercial et résidentiel
à celle de l’équipement forestier et du matériel de construction. Les
résultats du quatrième trimestre et de l’exercice 2001 ont fait l’objet
d’un rajustement pour ces divisions. Ainsi, le chiffre d’affaire de ces
divisions est passé respectivement à 28 $ et à 140 $, tandis que la
perte d’exploitation de ces divisions est passée respectivement à 12 $ et
à 29 $. Durant le quatrième trimestre 2002, le bénéfice (la perte)
d’exploitation des divisions de l’équipement agricole, de l’équipement
commercial et résidentiel, de l’équipement forestier et du matériel de
construction, du crédit, ainsi que des technologies spéciales englobait
respectivement des coûts liés aux éléments exceptionnels, avant impôts,
de 3 $, de 2 $, de 7 $, de 0 $ et de 2 $, pour un total de 14 $. Pour
l’exercice 2002, les coûts liés aux éléments exceptionnels, avant impôts,
se sont établis respectivement à 12 $, à 24 $, à 27 $, à 0 $ et à 9 $,
pour un total de 72 $. Pour le quatrième trimestre et l’exercice 2001,
les coûts liés aux éléments exceptionnels, avant impôts, se sont établis
respectivement à 97 $, à 160 $, à 83 $, à 3 $ et à 1 $, pour un total de
344 $. Pour le quatrième trimestre et l’exercice 2002, le total des coûts
liés aux éléments exceptionnels, avant impôts, s’est chiffré
respectivement à 9 $ ou 0,04 $ par action, et à 45 $ ou 0,18 $ par
action, en comparaison de 217 $ ou 0,91 $ par action pour ces deux
périodes de l’exercice 2001.
Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article :
John Deere
http://www.deere.com/