La viticulture française, qui traverse une crise sans précédent sur le marché mondial, est essentiellement victime de son manque de rigueur, de son inadaptation au marché et de son arrogance.
Laccord sur lagriculture conclu lors du cycle dUruguay (AACU) a eu des effets limités sur le commerce mondial des produits agricoles. Ces derniers restent frappés de droits de douane importants. Les droits consolidés sur les produits agricoles dépassent en moyenne 40 %, contre 4 % sur les produits manufacturés.