Deere annonce un bénéfice de 204 M$ pour le premier trimestre

Publié: 20 février 2009

Moline (Illinois), 19 février 2009 – Deere & Company a annoncé un bénéfice net mondial de 203,9 M$, ou 0,48 $ par action, pour le premier trimestre clos le 31 janvier, comparativement à 369,1 M$, ou 0,83 $ par action, pour la période correspondante de l’exercice précédent. Au premier trimestre, le chiffre d’affaires net et les revenus mondiaux ont atteint 5,146 G$, une baisse de 1 pour cent par rapport aux 5,201 G$ enregistrés au premier trimestre de l’exercice précédent. Le chiffre d’affaires net des activités liées au matériel s’est élevé à 4,560 G$ au premier trimestre comparativement à 4,531 G$ pour la période correspondante de l’exercice précédent.

« Malgré cette période de grande incertitude économique, John Deere aconnu un autre trimestre rentable et compte maintenant tirer profit d’autresoccasions pour améliorer sa position sur le marché mondial », a affirmé RobertW. Lane, président du conseil et président et chef de la direction. « De plus,la hausse continue des coûts du matériel, l’aggravation de la récessionmondiale et l’instabilité des taux de change ont contribué à la baisse de nosrésultats financiers. » Selon M. Lane, la demande pour les grosses machinesagricoles productives est demeurée forte, essentiellement en raison de lasanté financière de l’industrie agricole aux Etats-Unis. L’accès de Deere auxmarchés mondiaux des capitaux, qui assure la disponibilité de crédit pour sesnombreux clients, est un autre facteur ayant permis à la société d’enregistrerce bénéfice. Pendant le trimestre, les opérations de crédit de Deere ontobtenu du financement surpassant tous les billets à moyen terme et les titresadossés à des créances mobilières arrivant à échéance pour l’ensemble del’exercice.

Résumé des activités
Le chiffre d’affaires net des activités mondiales liées au matériel aaugmenté de 1 pour cent au cours du trimestre. On y inclut les variations desprix de 6 pour cent contrebalancées par les effets négatifs de la conversiondes devises de 6 pour cent. Le chiffre d’affaires net du matériel auxEtats-Unis et au Canada a augmenté de 1 pour cent pendant le trimestre. Lechiffre d’affaires net en dehors des Etats-Unis et du Canada est demeuréinchangé au cours du trimestre, en tenant compte des effets négatifs de laconversion des devises de 14 pour cent.

Les activités liées au matériel de Deere ont enregistré un bénéficed’exploitation de 307 M$ pour le trimestre, comparativement à 457 M$ pour lapériode correspondante de l’exercice précédent. Cette chute est en grandepartie attribuable à la hausse des coûts des matières premières et aux effetsnégatifs d’un taux de change instable, contrebalancés en partie par uneamélioration des prix réalisés.

La société a continué à gérer ses actifs de façon rigoureuse, ce qui luia permis d’améliorer une fois de plus ses résultats. A la fin du trimestre,les comptes clients et les stocks s’élevaient à 7,312 G$, ou 28 pour cent duchiffre d’affaires réalisé au cours des 12 mois précédents, par rapport à6,488 G$, ou 29 pour cent du chiffre d’affaires il y a un an.

Les services financiers ont enregistré un bénéfice net de 46,8 M$ aupremier trimestre, comparativement aux 97,7 M$ enregistrés à la périodecorrespondante de l’exercice précédent. Cette baisse s’expliqueessentiellement par le rétrécissement des marges de financement, la diminutiondes commissions tirées de l’assurance-récolte et la hausse des provisions pourles pertes sur créances.

Perspectives de la société et résumé
Les perspectives pour l’année à venir demeurent exceptionnellementincertaines, surtout en ce qui a trait aux taux de change, et leursrépercussions sur le chiffre d’affaires et le bénéfice de Deere sontdifficiles à évaluer.

Selon les prévisions, le chiffre d’affaires du matériel de la sociétédevrait diminuer d’environ 8 pour cent pour l’ensemble de l’exercice etd’environ 9 pour cent au deuxième trimestre. On y inclut des effets négatifsde la conversion des devises d’environ 6 pour cent pour l’ensemble del’exercice ainsi que pour le deuxième trimestre. Le bénéfice net de Deeredevrait se chiffrer à environ 1,5 G$ en 2009, et le risque de baisse estdavantage présent à l’heure actuelle. La société suspend sa pratiqueconsistant à fournir une prévision trimestrielle du bénéfice net à la lumièred’une conjoncture économique mondiale très incertaine, dont l’instabilité destaux de change.

« Le fait que Deere investisse dans les technologies de pointe et mettel’emphase sur la gestion rigoureuse de ses actifs devrait aider la société àaffronter les défis économiques actuels tout en étendant sa position de chefde file dans le monde », a déclaré M. Lane. « Bien qu’atténuées par la présenterécession, les tendances positives entourant nos activités, comme la demandemondiale pour les aliments et l’infrastructure, demeurent intactes à notreavis et sont toujours aussi prometteuses. »

Rendement de la division Matériel
Agriculture. Le chiffre d’affaires de la division Matériel agricole aaugmenté de 18 pour cent au premier trimestre, essentiellement en raison d’uneaugmentation des volumes de livraison et d’une amélioration des prix réalisés,contrebalancées en partie par les effets négatifs de la conversion desdevises. Le bénéfice d’exploitation s’est élevé à 348 M$ au premier trimestrecomparativement à 332 M$ pour la période correspondante de l’exerciceprécédent. Cette hausse du bénéfice d’exploitation est attribuable àl’amélioration des prix réalisés ainsi qu’aux incidences positives de lahausse des volumes de livraison et de production, contrebalancées en partiepar une hausse des coûts des matières premières. Le bénéfice d’exploitation aégalement subi les contrecoups de la grande instabilité des taux de change desdevises étrangères.

Commercial et résidentiel. Le chiffre d’affaires de la division Matérielcommercial et résidentiel a diminué de 25 pour cent au premier trimestre. Ladivision a affiché une perte d’exploitation de 59 M$ pour le trimestrecomparativement au bénéfice d’exploitation de 8 M$ pour la périodecorrespondante de l’exercice précédent. Cette baisse est attribuable en grandepartie aux répercussions défavorables de la diminution des volumes delivraison et de production et de la hausse des coûts des matières premières,contrebalancées en partie par la diminution des dépenses de vente,administratives et générales et l’amélioration des prix réalisés.

Construction et foresterie. Le chiffre d’affaires a chuté de 28 pour centau premier trimestre. Le bénéfice d’exploitation s’est élevé à 18 M$comparativement aux 117 M$ enregistrés l’année précédente. Cette baisse dubénéfice est attribuable en grande partie aux répercussions défavorables de ladiminution des volumes de livraison et de production et de la hausse des coûtsdes matières premières, contrebalancées en partie par l’amélioration des prixréalisés et la diminution des dépenses de vente, administratives et générales.

Perspectives et conjoncture du marché
Tel que mentionné plus haut, les perspectives pour la prochaine annéedemeurent exceptionnellement incertaines, particulièrement pour les taux dechange. Leurs répercussions sur les trois divisions de matériel de la sociétéet sur le bénéfice net des opérations de crédit sont difficiles à évaluer.

Agriculture. Les ventes mondiales de matériel agricole de la sociétédevraient diminuer d’environ 2 pour cent pour l’ensemble de l’exercice 2009.On y inclut des effets négatifs de la conversion des devises d’environ 7 pourcent. Les ventes de machinerie agricole aux Etats-Unis et au Canada devraientdemeurer stables ou afficher une hausse d’un maximum de 5 pour cent,entraînées par une augmentation des ventes de tracteurs et demoissonneuses-batteuses. La société s’attend à ce que les prix desmarchandises agricoles se maintiennent à des niveaux solides en 2009 et à ceque les coûts du carburant et des engrais diminuent légèrement. Les ventes decertains types de matériel, comme les petits tracteurs, l’équipement pour lecoton et la machinerie utilisée pour l’élevage de bétails, devraient chuterconsidérablement pendant l’exercice.

Dans d’autres régions du monde, les ventes industrielles devraientbaisser en raison de la détérioration de la conjoncture économique, de ladisponibilité et des coûts du crédit, ainsi que des fluctuations des taux dechange. En outre, les ventes de pièces en Australie et en Amérique du Suddevraient subir les contrecoups de la sécheresse. Dans ces conditions, lesventes industrielles en Europe de l’Ouest devraient diminuer de 10 à 15 pourcent pour l’ensemble de l’exercice, alors que les ventes devraient chuterconsidérablement en Europe centrale et dans les pays de la CEI (Communauté desEtats indépendants), y compris en Russie. En Amérique du Sud, les ventesindustrielles devraient enregistrer une baisse de 15 à 25 pour cent.

Commercial et résidentiel. Reflétant l’effondrement du marché immobilieraux Etats-Unis et la récession économique, les ventes de matériel commercialet résidentiel devraient baisser d’environ 14 pour cent pour l’ensemble del’exercice.

Construction et foresterie. Principalement en raison de l’effondrement del’économie mondiale et du plus bas historique des activités de constructionaux Etats-Unis, les ventes mondiales de matériel de construction et deforesterie de Deere devraient chuter d’environ 24 pour cent pendantl’exercice. Cette perspective tient compte d’un niveau beaucoup plus bas deventes mondiales de matériel de foresterie attribuable au ralentissementéconomique.

Activités de crédit. Le bénéfice net des opérations de crédit de Deerepour l’ensemble de l’exercice 2009 devrait s’élever à environ 250 M$. Cettebaisse des prévisions par rapport à 2008 s’explique essentiellement par lerétrécissement des marges de financement lié au cadre de financement actuel,la hausse des provisions pour les pertes sur créances et la diminution descommissions tirées de l’assurance-récolte.

John Deere Capital Corporation
Les renseignements suivants sont communiqués au nom de la filiale decrédit de la société, John Deere Capital Corporation (JDCC), conformément auxexigences de présentation applicables à l’émission périodique de titresd’emprunt sur le marché public.

Le bénéfice net de JDCC s’est élevé à 35,0 M$ $ pour le premiertrimestre, comparativement au bénéfice net de 77,2 M$ pour la périodecorrespondante de l’exercice précédent. Cette baisse des résultats s’expliqueessentiellement par le rétrécissement des marges de financement, la diminutiondes commissions tirées de l’assurance-récolte et la hausse des provisions pourles pertes sur créances.

Les montants nets des comptes clients et des contrats de locationfinancés par JDCC s’élevaient à 18,459 G$ au 31 janvier 2009, comparativementà 18,261 G$ à pareille date l’an dernier. Les montants nets des comptesclients et des contrats de location gérés, y compris les comptes clients gérésmais non détenus, ont atteint un total de 18,628 G$ au 31 janvier 2009,comparativement à 18,470 G$ à pareille date l’an dernier.

Règle refuge
Déclaration de règle refuge en vertu de la loi Private SecuritiesLitigation Reform Act de 1995 : Les déclarations des rubriques « Perspectivesde la société et résumé », « Perspectives et conjoncture du marché », et autresdéclarations du présent communiqué qui se rapportent aux périodesd’exploitation futures sont assujetties à des risques et à des incertitudesimportants, susceptibles d’entraîner des écarts considérables entre lesprévisions et les résultats réels. Certains de ces risques et incertitudespourraient avoir des répercussions sur des secteurs d’activité bien précis,tandis que d’autres pourraient avoir une incidence sur l’ensemble desactivités de la société.

Ces énoncés prospectifs comportent certains facteurs pouvant fairel’objet de changements, y compris, pour le secteur du matériel agricole de lasociété, les nombreux facteurs interdépendants qui peuvent avoir des effetssur la confiance des agriculteurs. Parmi ces facteurs, on compte laconjoncture économique mondiale, la demande pour les produits agricoles, lesstocks mondiaux de céréales, les conditions météorologiques, la condition dessols, les rendements des récoltes, les prix des produits de base et du bétail,les dépenses liées à la production des cultures agricoles et du bétail, ladisponibilité des transports pour les récoltes, la croissance de l’utilisationnon alimentaire de certaines cultures (dont la production d’éthanol et debiodiesel), les valeurs des biens immobiliers, la superficie des terresarables, les politiques des gouvernements en matière de propriété des terres,les changements dans les programmes et politiques agricoles des gouvernements(y compris ceux aux Etats-Unis et au Brésil), la réaction internationaleauxdits programmes, les accords de commerce mondiaux, les maladies animales etleurs répercussions sur les prix ainsi que sur la consommation de volaille etde viande bovine (notamment la grippe aviaire et l’encéphalopathie spongiformebovine, communément appelée maladie de la « vache folle »), les parasites etautres maladies agricoles (dont la maladie de la « rouille asiatique »), et leniveau des exportations de produits agricoles (y compris les préoccupations àl’égard des organismes génétiquement modifiés).

Parmi les facteurs pouvant avoir une incidence sur les activités de ladivision du matériel commercial et résidentiel de la société figurent laconjoncture économique générale, la confiance des consommateurs, lesconditions météorologiques, la rentabilité de ses clients, les habitudesd’emprunt des consommateurs, leurs préférences d’achat, les mises en chantier,l’investissement dans les infrastructures, les dépenses des municipalités etdes clubs de golf, ainsi que les coûts des intrants consommables.

La conjoncture économique générale, les habitudes de consommation, lescoûts de l’immobilier et du logement, le nombre de mises en chantier et lestaux d’intérêt sont tous des facteurs particulièrement importants pour lesventes de matériaux de construction de la société. Les mises en chantierd’édifices publics et non résidentiels ont également une incidence sur lesrésultats de la division du matériel de construction et de foresterie de lasociété. Par ailleurs, les prix de la pâte, du bois d’oeuvre et des panneauxde charpente ont des effets importants sur les ventes de matériel deforesterie.

L’ensemble des activités et des résultats de la société subissent lesrépercussions de la conjoncture économique générale et de la stabilitépolitique et sociale des marchés mondiaux dans lesquels la société exerce sesactivités, particulièrement les changements importants dans l’activitééconomique de ces marchés; la confiance des consommateurs dans la conjonctureéconomique générale; les taux de change des devises étrangères,particulièrement les fluctuations de la valeur du dollar américain, des tauxd’intérêt, et des taux d’inflation et de déflation; les perturbations desmarchés des capitaux; les changements importants au niveau des liquidités dansles marchés des capitaux, à l’accès au capital et aux coûts de financement quis’y rattachent; les changements et les répercussions des politiques bancaires,monétaires et fiscales des gouvernements et des programmes gouvernementauxdans certaines juridictions en particulier ou au profit de certains secteurs;les mesures adoptées par les agences de notation; l’accès des consommateursaux capitaux pour l’achat des produits de la société et les pratiquesd’emprunt et de remboursement, le nombre et l’importance des prêts ensouffrance et des défauts de paiement des clients, ainsi que les crises dumarché du crédit hypothécaire à haut risque; les changements dans les valeursmarchandes des actifs d’investissement; les difficultés liées à la production,à la conception et à la technologie, notamment les prix, les contraintes decapacité et les difficultés d’approvisionnement; la disponibilité et les prixdes matériaux, des composants et des produits entiers approvisionnés de façonstratégique; les retards ou les perturbations dans la chaîned’approvisionnement de la société causés par les mauvaises conditionsmétéorologiques, les catastrophes naturelles ou les difficultés financières,notamment la perte de liquidités, des fournisseurs (y compris les fournisseursréguliers dans l’industrie automobile); la création de nouvelles usines et lelancement de nouveaux produits; le succès des nouveaux projets de produits etl’acceptation de ces derniers par les consommateurs; le prix etl’approvisionnement du pétrole et des énergies; la disponibilité et le coût dufret; les politiques commerciales, monétaires et fiscales de divers pays (ycompris les politiques protectionnistes perturbant le commerce international);les guerres et autres conflits internationaux ou menaces de conflit; lesmesures prises par le Federal Reserve Board des Etats-Unis et les autresbanques centrales; les mesures adoptées par la Securities and ExchangeCommission des Etats-Unis; les directives instaurées par les organismes deréglementation environnementale, sanitaire et de sécurité, y compris cellesayant trait aux émissions des moteurs (en particulier les exigences en matièred’émissions de niveau 4), au bruit et au risque de réchauffement climatique;les mesures prises par d’autres organismes de réglementation; les mesuresprises par la concurrence dans les divers secteurs d’activité de la société,notamment la réduction des prix; les pratiques des concessionnaires, surtouten ce qui concerne les niveaux de stocks de matériel neuf et d’occasion; lesrelations et réglementations du travail; la modification des normescomptables; les changements des taux fiscaux et des règlements sur les impôts;les effets du terrorisme ou les réactions qu’il suscite; ainsi que leschangements apportés aux lois et règlements régissant les secteurs d’activitésde la société. La propagation d’épidémies importantes (y compris la grippe, leSRAS, les fièvres et autres virus) pourrait également avoir des effets sur lesrésultats de la société. Les variations climatiques peuvent avoir desrépercussions sur les activités des clients et sur les résultats de lasociété. Les résultats de la société subissent également les effets deschangements du niveau des prestations de retraite des employés, desfluctuations de la valeur marchande des actifs de placement et du niveau destaux d’intérêt, lesquels ont des effets sur les coûts associés aux prestationsde retraite et les changements importants dans les coûts liés aux soins desanté. Parmi les autres facteurs qui pourraient avoir des répercussions surles résultats, on compte les acquisitions et les cessations d’activités,l’intégration de nouvelles activités, les fluctuations des dividendes déclarésde la société, ainsi que les émissions et les rachats d’actions ordinaires.

En ce qui concerne le ralentissement économique mondial actuel, leschangements des politiques bancaires, monétaires et fiscales des gouvernementsvisant à rétablir les niveaux de liquidité et à augmenter la disponibilité ducrédit pourraient s’avérer inefficaces et nuire de façon considérable auxclients et aux marchés de la société. D’importants changements apportésrécemment dans les conditions des liquidités du marché sont susceptiblesd’avoir des répercussions sur l’accès au financement et les coûts qui s’yrattachent, ce qui pourrait réduire les bénéfices et les flux de trésorerie dela société. Les activités de gestion des investissements de la sociétépourraient subir les effets des changements apportés dans les marchés desactions et des obligations, ce qui pourrait avoir des répercussions négativessur ses bénéfices.

La conjoncture économique générale peut également avoir des effets sur lademande de matériel de la société. La conjoncture et les perspectiveséconomiques défavorables actuelles ont nui à la demande de certainséquipements. De plus, divers programmes gouvernementaux prêtant assistance àcertains secteurs d’activité ou industries pourraient avoir des répercussionsnégatives sur la position de la société dans le marché mondial.

Le ralentissement économique actuel et l’instabilité du marché ont nui àl’industrie financière dans laquelle John Deere Capital Corporation (CapitalCorporation) exerce ses activités. Les liquidités de Capital Corporation et lapoursuite de sa rentabilité dépendent en grande partie d’un accès opportun auxcapitaux pour faire face aux besoins futurs en liquidités, aux opérations definancement, aux coûts associés à diverses activités de financement et aufinancement d’achat des produits de la société. Si les niveaux actuels deperturbation et d’instabilité du marché se maintiennent ou empirent, ou si lesprogrammes de liquidité du gouvernement deviennent moins accessibles, lefinancement pourrait disparaître ou devenir insuffisant. En outre, compte tenude la conjoncture actuelle, les niveaux de confiance des clients peuvententraîner une baisse des demandes de crédit et une augmentation des comptes ensouffrance et des défauts de paiement, ce qui pourrait avoir des effetsconsidérables sur les sorties du bilan de la société et les provisions pourles pertes sur créances.

Les prévisions de la société sont fondées sur des hypothèses qui sontliées aux facteurs décrits ci-dessus, et qui reposent parfois sur desestimations et des données préparées par des organismes gouvernementaux. Cesestimations et ces données sont souvent passées en revue. Sauf obligationlégale, la société se dégage de toute responsabilité de mettre à jour ou deréviser ses prévisions, que ce soit à la suite de nouveaux développements oupour toute autre raison. De plus amples renseignements au sujet de la sociétéet de ses activités, de même que les facteurs pouvant entraîner desrépercussions importantes sur les résultats financiers de la société, sontcontenus dans le plus récent rapport annuel de la société sur formulaire 10-K(y compris les facteurs mentionnés à l’article 1A. Facteurs de risque) et lesautres documents déposés auprès de la Securities and Exchange Commission desEtats-Unis.

Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article :

John Deere
http://www.deere.com/

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