Offensive promotionnelle pour accroître les exportations bioalimentaires québécoises

Publié: 27 mars 2000

Québec, le 21 mars 2000 – Le ministre du MAPAQ, monsieur Rémy Trudel, a procédé le 12 mars dernier au lancement de la 4e édition du Festival culinaire du Québec, à Tokyo. Ce festival, qui met en vedette la cuisine et les produits régionaux du Québec, se tiendra à l’hôtel Okura, le plus prestigieux hôtel de Tokyo.







La cuisine québécoise est perçue, au sein du réseau hôtelier japonais, comme une cuisine exotique pouvant satisfaire les plus hautes exigences de la clientèle locale et internationale.


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De gauche à droite: Nicolas Chatel-Launay, coordonnateur du projet Agrisolutions climat; Ghalia Chahine, coordonnatrice environnement à l'UPA; Jérémie Letellier de l'UPA Montérégie; Martin Caron, président général de l'UPA; Sophie Chatel, Secrétaire parlementaire du ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du Canada, Sylvie Thériault et Jean-François Riendeau, producteurs hôtes

Le projet Agrisolutions climat prolongé jusqu’en 2028

Le projet Agrisolutions climat, qui permet aux fermes participantes de recevoir jusqu’à 100 000$ pour implanter des pratiques à la ferme visant à réduire les émissions de GES, a été reconduit.

Au cours du mois de mars, le chef invité Jean-Luc Boulay, du restaurant Saint-Amour à Québec, ainsi que le chef Norio Negishi, de l’hôtel Okura, assureront conjointement la responsabilité de cette manifestation du savoir-faire en matière culinaire.

La cuisine québécoise est perçue, au sein du réseau hôtelier japonais, comme une cuisine exotique pouvant satisfaire les plus hautes exigences de la clientèle locale et internationale. En effet, la qualité et l’innocuité des produits sont au nombre des préoccupations des nippons et constituent des éléments pour lesquels le Québec est reconnu comme un leader.

Le ministre Trudel a souligné que « cette offensive promotionnelle vise à accroître substantiellement la valeur des exportations bioalimentaires québécoises vers le Japon, lesquelles se chiffrent actuellement à environ 152 millions $. »

« Depuis trois ans, le Québec vend plus à l’extérieur qu’il n’achète de produits pour la consommation québécoise, ce qui en fait un exportateur net de produits bioalimentaires. En 1999, la balance commerciale favorable du Québec s’est chiffrée à 62 millions $ », a conclu monsieur Trudel.

Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article :

Ministère de l’agriculture des pêcheries et de l’alimentation du Québec (MAPAQ)

http://www.agr.gouv.qc.ca/