Québec (Québec), 6 décembre 2000 Le ministre de lAgriculture, des Pêcheries et de lAlimentation, monsieur Rémy Trudel, est heureux de sassocier, pour la troisième année, aux partenaires gouvernementaux et privés impliqués dans le concours « Chapeau les filles ». Les objectifs de ce concours, qui visent laccroissement du nombre de femmes dans les métiers traditionnellement réservés aux hommes, sont pleinement partagés par le ministère de lAgriculture, des Pêcheries et de lAlimentation (MAPAQ).
En contribuant à la tenue de ce concours, le Ministère veut promouvoir la présence des femmes dans les programmes détudes secondaires, collégiales et universitaires, lesquels mènent à des métiers ou professions du secteur bioalimentaire, majoritairement occupés par les hommes.
« Le secteur bioalimentaire québécois est en pleine croissance et les occasions daffaires sont de plus en plus nombreuses. Cet important secteur à vocation économique emploie plus de 400 000 personnes, ce qui représente un peu plus dun emploi sur neuf. Je souhaite que les femmes participent activement au développement de cette industrie et, à cette fin, je les invite à profiter de toutes les occasions qui se présentent et à ne pas hésiter à développer de nouveaux créneaux », a souligné monsieur Trudel.
Le MAPAQ encourage les femmes inscrites aux programmes admissibles du secondaire et du collégial dans le secteur bioalimentaire à participer en très grand nombre au concours « Chapeau les filles ». Leur participation aux finales régionales les rendra admissibles au prix national de 2 000 $ attribué par le MAPAQ à la meilleure candidate parmi les participantes au volet « Agriculture, pêches et alimentation ». Pour la première année dexistence du concours au niveau universitaire, le MAPAQ est heureux doffrir un prix national de 2 000 $ à la meilleure candidate choisie parmi les participantes inscrites dans les programmes universitaires du secteur bioalimentaire admissibles au concours.
Les deux prix offerts par le MAPAQ sinscrivent dans la volonté du Ministère de promouvoir la formation bioalimentaire et dassurer au secteur une main-duvre qualifiée. Rappelons que le MAPAQ investit, chaque année, dans la formation, pas moins de 20 millions de dollars dont la majeure partie est affectée aux activités des instituts de technologie agroalimentaire de La Pocatière et de Saint-Hyacinthe.
Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article :
Ministère de l’agriculture des pêcheries et de l’alimentation du Québec (MAPAQ)
http://www.agr.gouv.qc.ca/
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