Montréal (Québec), 18 avril 2002 – Des militants de Greenpeace ont manifesté devant le siège québécois de Loblaws, à Montréal, pour réclamer du géant de la distribution alimentaire qu’il retire ses produits contenant des OGM.
Selon l’organisation environnementaliste, Loblaws, qui détient 38 pour cent du marché québécois de l’alimentation avec les bannières Provigo et Maxi, devrait étiqueter ses produits avec OGM d’ici à ce qu’ils soient retirés des tablettes.
À lire aussi

Drones et pesticides : est-ce pour bientôt?
Le champ est mouillé et c’est le temps d’appliquer un fongicide. On sort le drone? Pour l’instant, ce n’est pas encore permis. Le point sur la question avec Olivier Barmettler, d’OJ Ag, que nous avons rencontré sur la parcelle de démonstration du Bulletin à Expo-Champs.
Greenpence affirme que 70 pour cent des aliments transformés contiennent des organismes génétiquement modifiés et que Loblaws en est l’un des principaux distributeurs au Québec avec ses quelque 7000 produits maison de marque « Choix du président » et « Sans Nom ».
L’organisme fait valoir que la sécurité des OGM n’a jamais été démontrée et que, d’autre part, les consommateurs ont le droit de savoir ce qu’ils mangent.
Source : Presse Canadienne
Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article :
Greenpeace Canada
http://www.greenpeacecanada.org/
Loblaws Companies Limited
http://www.loblaw.com/
Provigo
http://www.provigo.ca/