Le soya et le blé ont résisté aux prises de profits de la fin de la semaine et ont terminé avec un solde positif malgré la pression. Le recul des matières premières, le pétrole en tête, a pesé sur les denrées en général. La hausse du dollar américain a également mis une pression supplémentaire sur le prix des céréales dans les derniers jours.
L’Organisation mondiale du grain a abaissé ses prévisions de récoltes pour le blé pour 2021-2022. L’Australie, qui est un important producteur de blé, fait face à d’importantes pluies. Ces facteurs ont contribué à ravivé l’intérêt des importateurs et dans la même veine, maintenu les prix du blé à des sommets.
Le boisseau de blé pour décembre a fini la semaine à 8,2300 $US contre 8,1700 $US la semaine précédente.
À lire aussi

L’amarante de Palmer aux portes du Québec
Les experts appellent à la vigilance face à l’amarante de Palmer, cette mauvaise herbe décrétée comme la plus problématique des États-Unis.
Le boisseau de maïs pour décembre a terminé à 5,7075 $US par rapport à 5,7725 $US vendredi dernier.
Le boisseau de soya pour janvier a conclu à 12,6325 $US comparativement à 12,4425 $US une semaine plus tôt.