London (Ontario), 31 mai 2003 – Le gouvernement de Ernie Eves croit qu’il est important d’informer les consommateurs sur l’industrie agroalimentaire de l’Ontario, et pour le démontrer, il investit 400 000 $ dans l’organisme L’éducation agroalimentaire de l’Ontario (EAO). C’est ce qu’a annoncéaujourd’hui la ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Helen Johns.
« Il est essentiel de continuer à faire connaître et comprendre nosindustries agricole et alimentaire et l’importance de leur apport dans la viedes Ontariennes et des Ontariens », a déclaré Mme Johns, en remettant un chèqueau représentant de l’EAO, lors de l’événement Agriculturally Yours, auxWestern Fairgrounds. « Je suis fière d’aider cet organisme à but non lucratifqui s’emploie à offrir des ressources et des programmes éducatifs à tous lesélèves et enseignants de l’Ontario. »
L’EAO utilisera ces fonds pour élaborer et distribuer des ressourcespédagogiques sur l’industrie agroalimentaire qui cadrent avec les curriculumsactuels, fournir une formation aux éducateurs de tout l’Ontario, faire lapromotion des ressources disponibles lors de conférences et d’ateliersdestinés aux enseignants, et soutenir les comités de sensibilisation locaux.
« Sensibiliser les jeunes à l’agriculture et à la production alimentairereprésente un investissement judicieux dans l’avenir de l’industrie », adéclaré John Hyde, directeur général de l’EAO. « Le soutien constant duministère de l’Agriculture et de l’Alimentation nous permet d’aller de l’avantet d’éduquer les jeunes de l’Ontario sur les enjeux agroalimentaires et de lesaider à reconnaître l’incidence qu’ils peuvent avoir sur l’avenir del’agriculture, des industries agricoles et de la production alimentaire. »
Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article :
Ministère de l’agriculture, de l’alimentation et des affaires rurales de l’Ontario
http://www.gov.on.ca/OMAFRA/french/
À lire aussi

Le monde agricole déçu des engagements du gouvernement Legault
Les promesses agroenvironnementales et la tarification carbone ne sont pas à la hauteur des attentes de l’UPA et des Producteurs de grains du Québec. Entrevue.