Passionné de technologies, le producteur laitier François Pinard de la ferme Acaduc croit qu’il faut choisir celles qui répondent à nos besoins et surtout, en tirer le maximum. Il est bien content de sa nouvelle étable et de la technologie qui vient avec. Avec le confort apporté aux vaches et le robot de traite, il a augmenté sa production par vache. À lire en couverture du Bulletin!
Depuis dix ans, l’agronome Louis Pérusse fait la promotion d’une agriculture de conservation des sols et plus spécifiquement des systèmes de semis direct sur couverture végétale permanente (SVC) au Québec. Entrevue avec celui qui fait appel au « génie végétal » pour le bien-être économique des producteurs et écologique de la planète.
À lire aussi

État des cultures 11 juillet: Encore une semaine inégale
Encore une semaine où la météo creuse les écarts avec des différences marquées dans les conditions et le développement des cultures.
Les constructions en production laitière n’ont jamais connu une telle effervescence. Toutefois, avec les annonces de coupures de quota de la dernière année et la récente renégociation de l’ALENA, il est tentant de mettre un frein aux investissements. Une chose est certaine, il faut se poser les bonnes questions avant de passer à l’action.
De plus en plus, les technologies prennent d’assaut les fermes porcines. Le Bulletin a demandé à un pionnier des technologies de nous présenter celles qui seront déterminantes pour le futur de l’industrie. Ce qu’on remarque, c’est que l’informatisation des données et de la surveillance des animaux prendra plus de place.
La nouvelle usine de mouches stériles roses située à Sherrington a nécessité un investissement de 650 000 $. Il s’agit de la seule usine du genre en Amérique du Nord. Rappelons que ces mouches sont relâchées selon un calendrier précis de production dans le but de réduire l’utilisation de pesticides dans la production d’oignons.
Vous n’êtes pas encore abonné? Remédiez à la situation en cliquant ici.