Le géant américain de la biotechnologie Monsanto s'est vu interdire de procéder à un essai de culture d'OGM en Australie après des objections du principal exportateur de blé du pays.
Le « bateau de la mort », qui erre depuis deux mois dans les eaux du Moyen-Orient avec plus de 50 000 moutons australiens à son bord, retournera vers l'Australie en début de semaine prochaine.
Des chercheurs de premier plan des Etats-Unis, de l'Australie et du Canada se sont réunis à Montréal pour présenter leurs dernières découvertes quant au rôle de l'alimentation, de la nutrition et de l'exercice dans la gestion de l'épidémie croissante de l'obésité à travers le monde.
Les prix mondiaux du blé, des céréales secondaires et des oléagineux devraient, selon les projections de l'OCDE, connaître une baisse sensible cette année, alors que la production amorce une reprise après le recul consécutif dû aux sécheresses qui ont touché l'Amérique du Nord et l'Australie.
Les autorités agricoles australiennes ont imposé des mesures de quarantaine strictes après la découverte, sur un second site de recherches, d'un virus qui s'attaque au blé et qui pourrait mettre en péril les récoltes australiennes d'une valeur annuelle de 15,6 milliards de dollars américains.
L'administration australienne a annoncé qu'elle avait reçu de l'agrochimiste américain Monsanto une demande pour cultiver du colza génétiquement modifié à l'échelle commerciale.
Le Japon n'est pas le seul pays cité dans ce rapport. Au total, 48 pays ont été étudiés: l'Australie a été classé au niveau 1 (le plus bas) de l'échelle, les Etats-Unis au niveau 2, la France au niveau 3 -comme le Japon- et la Grande-Bretagne au niveau 4.