Par le biais d'un communiqué incendiaire émis le 7 janvier 2008, la Fédération des producteurs de cultures commerciales du Québec (FPCCQ) tente de créer un faux état de crise afin de bien motiver ses troupes en ce début de la haute saison syndicale.
La Fédération canadienne de l'agriculture (FCA) exhorte le gouvernement fédéral à prendre des mesures réelles et concrètes en réponse à la crise à laquelle fait face l'industrie canadienne du bétail.
La FPBQ et le RESAM se réjouissent que les participants au Sommet sur l'avenir du secteur forestier québécois aient reconnu l'importance de grands changements pour surmonter la crise actuelle.
Le Conseil canadien du porc (CCP) est soulagé de constater que le fédéral et les gouvernements provinciaux reconnaissent les obstacles majeurs auxquels l'industrie fait face actuellement, mais ses représentants insistent sur la nécessité de trouver des solutions immédiates.
Le président de la Fédération du commerce, Jean Lortie, et le président du Syndicat des travailleurs d'Olymel à Vallée-Jonction, Martin Maurice déplorent la déclaration de Jean-Guy Vincent, président de la Fédération des producteurs de porc du Québec (FPPQ), selon laquelle les conventions collectives mettraient les producteurs porcins en difficulté.
La problématique de la capacité d'abattages de porcs au Québec demeure, étant donné la fermeture des installations d'Olymel à Saint Valérien, prévue en mars prochain, et compte tenu du conflit de travail qui s'enlise à l'abattoir d'Atrahan, à Yamachiche, en Mauricie.
A l'occasion d'une conférence de presse, MM. Denis Richard et Claude Lafleur, respectivement président et chef de la direction de La Coop fédérée, ont exprimé leur préoccupation quant à l'avenir de l'industrie porcine québécoise.
Les producteurs visés veulent interpeller le ministre canadien de l'agriculture, M. Chuck Strahl pour lui rappeler l'importance d'agir sans plus tarder.
Les Ministres n'ont pas pu réduire leurs divergences au sujet des « modalités » ou accords modèles nécessaires pour compiler les abaissements détaillés des droits de douane et des subventions à l'agriculture.