L'organisme pourra effectivement se doter d'une structure de gestion par bassin versant et démarrer l'élaboration d'un plan directeur de l'eau, en faisant participer la population à cet exercice.
Cinquante-deux départements ont mis en place à ce jour des mesures de restriction des usages de l'eau, a annoncé le ministère de l'Agriculture et de la pêche à l'issue de la troisième réunion du comité de suivi de la sécheresse.
Un projet de 5,65 millions de dollars sur une période de quatre ans dirigé par Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) ayant pour objectif d'étudier les effets de diverses pratiques de gestion bénéfiques (PGB) des terres sur la qualité de l'eau est maintenant en cours au Canada dans sept petits bassins hydrographiques.
Avec cet appui financier, l'Organisme de bassin versant de la rivière Bayonne sera en mesure de se conformer aux éléments du Cadre de référence sur les organismes de bassins versants prioritaires, d'élaborer le Plan directeur de l'eau (PDE) en informant et en faisant participer la population à cet exercice.
« Cette subvention permettra à l'Association de la gestion intégrée de la rivière Maskinongé de concilier le développement durable des activités agricoles, industrielles, urbaines et récréatives avec la mise en valeur du lac et de la rivière Maskinongé », a déclaré le ministre Mulcair.
Les sénateurs ont adopté cette réforme au cours de l'examen en première lecture du projet de loi sur l'eau et les milieux aquatiques, dont l'objectif est de parvenir à « un bon état écologique des eaux » en 2015.
Le ministre de l'Ecologie Serge Lepeltier présente, après sept ans de débats houleux, un projet de loi sur l'eau qui n'impose aucune nouvelle taxe aux agriculteurs.
La Fédération des producteurs de porcs du Québec (FPPQ) est rassurée par ses conclusions qui dressent un portrait sécurisant à l'égard de la qualité de l'eau et des risques pour la santé auxquels seraient confrontés les résidents des zones d'agriculture intensive.
L'Etude permet de tracer, à un moment précis, un portrait rassurant à l'égard de la qualité de l'eau et des risques pour la santé auxquels sont confrontés les résidents des zones d'agriculture intensive des sept bassins versants ciblés.