Michelle et James Herrle, propriétaires du Herrle’s Country Farm Market à Agatha, en Ontario, ont su capter l’attention des enfants pendant que leurs parents font les emplettes, en installant un train électrique qui longe le plafond du commerce. Les clients raffolent des idées de menus BBQ que Michelle Herrle offre chaque semaine et la majorité ne quitte pas avant l’arrivée de l’énorme charriot rempli d’épis de maïs sucré frais qui fait son entrée à l’arrière du magasin. Une fois son contenu renversé dans un immense bac, les clients s’y précipitent pour remplir leurs sacs.
À lire aussi
Prix des grains : sommets de 2022, l’histoire se répétera-t-elle?
Vendre ou attendre d’autres sommets? Plusieurs personnes se pose la question présentement. Il y a matière à réflexion surtout que j’ai reçu une alerte d’un courtier américain disant que les astres étaient moins bien alignés pour le marché du maïs.
Après avoir eu la surprise de sa vie en apercevant une fresque géante de sa ferme avec son champ de fraises sur le mur du supermarché qu’elle fréquente, Laura Hughes, de Springridge Farms près de Milton dans le sud de l’Ontario, a eu l’idée de vendre des reproductions reliées à la thématique agricole en kiosque. Elle et son mari ont rajouté une aire de jeux, des tours guidés, ainsi que des fêtes d’enfants. Aujourd’hui, leur exploitation organise jusqu’à 18 fêtes d’enfants par fin de semaine et plus de 23 000 enfants d’âge scolaire y viennent chaque année pour une sortie éducative.
