Les fraises et l’autocueillette : ou l’art de joindre l’utile à l’agréable

Publié: 2 juillet 2001

Montréal (Québec), 22 juin 2001 – En sa qualité de porte-parole des producteurs de fraises du Québec, l’Association des producteurs de fraises et framboises du Québec est heureuse d’inviter la population à participer à une activité familiale qui, d’année en année, gagne en popularité : l’autocueillette. En effet, à compter d’aujourd’hui, la plupart des producteurs de fraises de la grande région de Montréal ouvrent leurs champs aux cueilleurs d’un jour, avides de ces délicieux fruits juteux et gorgés de soleil qu’ils pourront tranquillement cueillir un à un.

À lire aussi

Les fraises et l’autocueillette : ou l’art de joindre l’utile à l’agréable

Le monde agricole déçu des engagements du gouvernement Legault

Les promesses agroenvironnementales et la tarification carbone ne sont pas à la hauteur des attentes de l’UPA et des Producteurs de grains du Québec. Entrevue.

Une activité familiale en vogue

De juin à la fin juillet, de nombreux producteurs invitent les gens à venir cueillir eux-mêmes leurs fraises. Afin de faire durer le plaisir et en tirer le maximum, pourquoi ne pas faire une sortie en famille, directement chez le producteur, et les cueillir vous-mêmes ? Non seulement l’autocueillette se classe au rang des activités super économiques, mais elle vous offre également l’occasion de vivre de joyeux moments de dégustation et de popote en famille. D’ailleurs, les enfants raffolent de ce genre d’activité qui permet d’allier contact avec la nature et gourmandise!

Activité familiale par excellence, l’autocueillette recrute chaque année des adeptes toujours plus nombreux, certains producteurs pouvant même accueillir des centaines personnes par jour. Plusieurs mettent à la disposition des cueilleurs une aire de pique-nique, des aires de jeux, des balades en tracteur ou à cheval et des kiosques où sont offerts divers produits. Enfin, la plupart des cultivateurs vous accueillent de 8 h à 20 h, en semaine, et de 8 h à 17 h, les week-ends.

Mais hâtez-vous! Bien que le Québec produise aujourd’hui de nombreuses variétés, dont certaines sont hâtives et d’autres tardives – comme la fraise d’automne – la saison est relativement courte. De juin à octobre, on retrouve la fraise du Québec dans les supermarchés, les fruiteries, les marchés publics et les kiosques. Profitez-en!

Un emploi avec ça ?

Vous êtes étudiant ou en recherche d’emploi ? La Fédération régionale de l’Union des producteurs agricoles recrute chaque année des cueilleurs, expérimentés ou non, pour la durée de la saison des fraises. Si vous désirez connaître les producteurs à la recherche de travailleurs motivés, communiquez avec votre Centre local d’emploi. Des moyens de transport en commun, qui font la navette matin et soir entre la ville et les champs, sont mis à la disposition des cueilleurs.

Pour connaître les producteurs de fraises qui ouvrent leurs champs à l’autocueillette, visitez le site Internet de l’Association des producteurs de fraises et framboises du Québec ou communiquez avec le bureau de l’Office du tourisme du Québec de votre région.

Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article :

Association des producteurs de fraises et framboises du Québec

http://www.fraisesetframboisesduquebec.com