Les hommes canadiens ont un faible pour la poitrine de dinde

Publié: 21 décembre 2005

Toronto (Ontario), 12 décembre 2005 – C’est tranché : la moitié des hommes canadiens (51 %) qui se sont vu demander, dans un récent sondage Butterball/Ipsos Reid, quelle partie de la dinde ils préféraient ont répondu que c’était la poitrine. En dépit de cette préférence marquée, de nombreuxhommes canadiens aiment mieux la viande brune, près du quart d’entre eux (21 %) optant pour le haut de cuisse et seize autre pour cent, pour le pilon.

Qui est aux fourneaux ?
Bien que presque tous, hommes et femmes, aiment la dinde (96 %) d’unocéan à l’autre, qui est aux commandes quand vient le temps de préparer levolatile au cours des Fêtes ? Selon le sondage, 68 % des femmes apprêtent ladinde contre seulement 17 % des hommes. L’appel est lancé pour la période desFêtes : messieurs, il est temps d’enfiler vos tabliers et de vous mettre àl’oeuvre !

La solution : les rotis de dinde
Pour l’homme (ou la femme) en quête d’une façon simple d’offrir lesdélices d’une dinde à leur famille, les rôtis de dinde congelés Butterballsont une excellente option, car ils vont directement du congélateur au four.Donc pas de décongélation, rien à préparer et rien à remettre en ordre ! Ilexiste cinq variétés de rôtis de dinde : rôti de dinde désossée Butterball,avec ou sans farce, rôti de dinde avec os Butterball, avec ou sans farce, etrôti de dinde désossée Butterball, viande blanche et brune. En somme de quoisatisfaire tous les goûts !

Des astuces pour l’équipe chargée de la cuisson de la dinde
Qui mène l’équipe quand vient le temps de cuire la dinde ? Les deux tiers(65 %) des « Pros de la dinde » au Canada sont, aux dires des répondants, desfemmes. C’est dans une proportion de 28 % que les hommes se considèrent commedes « recrues » puisqu’ils n’ont jamais fait cuire une dinde de leur vie. Peuimporte le poste que vous occupez dans l’équipe, voici quelques conseils pourréussir votre dinde des Fêtes à la perfection :

– La meilleure façon de décongeler une dinde est de la mettre au réfrigérateur. La règle est une journée pour 4 lb (1,8 kg). Faites le calcul. Si vous êtes pressé, plongez la dinde dans de l’eau froide. Il n’est pas conseillé de faire décongeler la dinde à la température de la pièce, car cela peut favoriser la prolifération des bactéries.

– Pour que tout le monde soit bien servi et qu’il y ait assez de restes, prévoyez 1,5 lb (0,675 kg) par personne.

– Pour que la dinde soit tendre et juteuse et que la peau soit d’une belle couleur dorée, les experts de Butterball recommandent de la faire cuire au four dans une rôtissoire sans couvercle à 325 degrés F (160 degrés C).

– Utilisez toujours un thermomètre pour savoir si la dinde est bien cuite. Le thermomètre doit avoir atteint 180 degrés F (83 degrés C) dans la partie la plus charnue de la cuisse et 160 degrés F (72 degrés C) au milieu de la farce.

Pleins feux sur les dépeceurs
Une équipe digne de respect comprend aussi, pour la période des Fêtes, uncapitaine-dépeceur. Quand on leur demande d’indiquer le rôle qui leur estdévolu dans la préparation de la dinde, 18 % des hommes répondent qu’ils nefont que dépecer et se tiennent loin des fourneaux. Si on compare, seulement 1 % des femmes s’en tiennent au dépeçage. Pour faire en sorte que votre dindecuite à la perfection soit dépecée de façon professionnelle, voici le plan dematch à suivre :

– Commencez par couper la bande de peau qui retient les pilons, puis saisissez le bout du pilon et coupez entre le pilon/la cuisse et le corps de la dinde. Enlevez la cuisse complète en la tirant vers l’arrière et en utilisant la pointe du couteau pour la séparer de l’articulation. Séparez la cuisse et le pilon à l’articulation.

– Insérer une fourchette dans l’aile supérieure pour maintenir fermement la dinde. Faites une longue incision horizontale au-dessus de l’articulation de l’aile à travers le corps. L’aile peut alors être séparée du corps, si vous le désirez.

– Dans un mouvement uniforme, tranchez à partir du milieu de la poitrine jusqu’en bas. La tranche se détachera lorsque le couteau atteint l’incision au-dessus de l’articulation de l’aile.

– Continuez à trancher la viande de la poitrine, à partir d’un point plus élevé chaque fois.

Vous trouverez d’autres conseils utiles pour le dépeçage à www.butterball.ca.

(*) Les chiffres mentionnés sont tirés d’un sondage Ipsos-Reid/Butterball réalisé du 8 au 10 novembre 2005. Pour les besoins du sondage, on a interviewé par téléphone 1 001 Canadiens adultes choisis au hasard. Avec un échantillon de cette taille, les résultats présentent une marge d’erreur possible de (+/-) 3,3 points de pourcentage, 19 fois sur 20, par rapport aux résultats qui auraient été obtenus si la totalité de la population canadienne adulte avait été consultée. La marge d’erreur peut être plus importante à l’échelle régionale et dans le cas d’autres sous- groupes de la population sondée. Les données mentionnées ont été pondérées par des méthodes statistiques afin que la composition de l’échantillon, en termes de régions, d’âge et de sexe, reflète bien la composition réelle de la population canadienne telle que définie par le recensement de 2001. Vous trouverez les résultats complets sous forme de tableaux à www.ipsos.ca.

Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article :

Ipsos Reid
http://www.Angusreid.com/

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