Prévenir la mort prématurée du maïs

Prévenir la mort prématurée du maïs

Une fin abrupte du développement du grain réduit le potentiel de rendement

Puisque le maïs est une plante annuelle, il est normal, voire souhaitable, qu’à la fin de la saison, il meure. Idéalement, les hybrides auront eu le temps de compléter leur cycle physiologique avant d’atteindre une sénescence complète. Cependant, lorsque des stress surviennent, ils peuvent causer une sénescence précoce de la plante.



Maïs, azote et rendement

Maïs, azote et rendement

Les hybrides contemporains sont plus tolérants au stress et ils réagissent mieux aux semis denses que leurs ancêtres

Depuis quelques décennies, l’apport moyen d’azote au maïs est relativement stable aux États-Unis. Pourtant, la sélection végétale a produit, au cours de la même période, une augmentation moyenne du rendement de 0,7 % par année. Comment est-ce possible?



Marché des grains :  à quoi s’attendre en 2024?

Marché des grains : à quoi s’attendre en 2024?

Il ne faudra pas manquer les opportunités

Comme c’est le cas dans bien des choses, dans la mise en marché de ses grains, on fonde de l’espoir que demain sera un jour meilleur. En bientôt 20 ans de carrière à suivre et analyser les marchés, s’il y a une constante, c’est bien celle-là. Et on ne peut discréditer cette idée souvent profondément […] Lire la suite

Hauts et bas des champs étroits

Hauts et bas des champs étroits

Les bandes étroites offrent l’avantage de minimiser les virages aux extrémités

Les premiers colons ont souvent divisé les terres agricoles du Québec en parcelles de trois arpents de large sur 40 de long. Aujourd’hui, les agriculteurs du Québec remembrent beaucoup de ces champs étroits, mais l’ensemble des parcelles demeurent rectangulaires, avec toutes les difficultés que cela comporte.





Maïs court

Vous songez faire le saut dans le maïs court? Lisez ceci

Lorsque les conditions s’y prêtent, la pourriture attaque les tiges des plantes, qu’elles soient hautes ou courtes

On parle abondamment du maïs court ces temps-ci parce que les choses évoluent. Certaines semencières ont identifié de nouveaux gènes de nanisme, tandis que d’autres savent dorénavant modifier l’effet des hormones de croissance afin de réduire la taille des plantes.