La synchronisation de la destruction du couvert était à 24 heures de la limite.

Le défi de l’agronomie synchronisée

Semer dans le vert est tout un contraste par rapport à nos anciennes méthodes

La pluie des derniers jours a fait réagir les champs rapidement. Je dois traiter mon couvert végétal avant que le canola sorte de terre. Un synchronisme qu’on gère de mieux en mieux afin de garder le sol couvert le plus longtemps possible.



Le couvert végétal pompe l’eau, stabilise le sol et nourrit nos microorganismes. Il ne nous reste qu’à les laisser travailler à notre place et sortir le semoir quand c’est le temps.

Une vraie job de paresseux

On se retrouve avec plus de 35 % de nos surfaces de récoltes déjà semées sans avoir eu l’impression de travailler

On nous annonce encore de la pluie jusqu’à jeudi. Ensuite, on aperçoit une mince fenêtre de quatre cinq jours chauds et ensoleillés qui devraient être suivis d’une autre séquence de pluie. Il me semble que les fenêtres sont de plus en plus complexes à gérer. Plus courtes en plus.

<strong>On boude le soya?</strong>

On boude le soya?

Statistique Canada a présenté plus tôt cette semaine son rapport sur les intentions d’ensemencements des Canadiens. Pour le Québec, les résultats du sondage réalisé par l’agence canadienne révèlent que les producteurs québécois ont des intentions d’ensemencements comparables à celles américaines pour les maïs et blé prévues en hausse de respectivement +3% et +8%. Pour le maïs, […] Lire la suite