Le variant Omicron a continué de secouer les marchés avec ses possibles conséquences sur la reprise économique mais aussi sur la pandémie elle-même. Les chiffres décevants sur le taux de chômage aux États-Unis dévoilés vendredi a également pesé sur l’humeur des marchés.
Après un mois de gains importants, le blé perd de son élan. L’incertitude économique a mené plusieurs investisseurs à encaisser leurs profits sur la céréale, surtout que la demande prédite pourrait s’estomper avec une pandémie qui s’étire. Les chiffres sur la production canadienne de blé en 2021 s’est aussi avérée plus importante que prévue, bien qu’inférieure à celle de 2020.
Avec le début de la nouvelle saison en Amérique du Sud, l’attention se tourne sur les conditions météo du continent. Un début de sécheresse a porté le soya qui termine la semaine en zone positive. La demande chinoise semble soutenu mais la prudence serait de mise quant à la demande provenant du pays.
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Semaine positive sur les marchés
Malgré un rehaussement de la récolte prévue cet automne aux États-Unis, les principales céréales ont terminé en hausse à Chicago.
Le maïs a pour sa part subi les contrecoups des annonces de la semaine, tout comme l’ensemble des denrées de base.
Le boisseau de blé pour mars a fini la semaine à 8,0375 $US contre 8,4025 $US la semaine précédente pour une perte de 6,27% pour la semaine.
Le boisseau de maïs pour mars a terminé à 5,8400 $US par rapport à 5,9175 $US vendredi dernier. Le maïs enregistre une baisse de 0,47% sur une base hebdomadaire.
Le boisseau de soya pour janvier a conclu à 12,6725 $US comparativement à 12,5275 $US une semaine plus tôt pour un gain de 1,2%.
