« Québec nous livre un budget sobre et sans surprise, plutôt mince pour répondre aux impératifs de la crise que traverse actuellement le secteur agricole ».
Les 995 millions de dollars annoncés sont la preuve que le gouvernement prêtait l'oreille lorsque les agriculteurs canadiens lui ont dit que l'agriculture vit une situation désespérée et a besoin d'aide de toute urgence.
L'agriculture biologique, avec 1,8% des terres cultivées, ne décolle pas en France, en dépit de l'intérêt du consommateur pour les produits « bio », synonymes pour lui de santé et de protection de l'environnement.
Créer des emplois pour les jeunes de la Nouvelle-Écosse tout en favorisant la création d'un marché public local, tel est l'objectif d'une nouvelle initiative financée par le gouvernement du Canada.
Environ 10% des emplois en France, soit quelque 2 651 000, sont liés aux métiers de l'agriculture, de l'agroalimentaire, de la forêt, de la pêche et du monde rural.
« Alors que les agricultrices et les agriculteurs du Québec composent avec la pire crise du revenu de leur histoire, il est temps que l'agriculture redevienne une priorité de l'État. »
La Chine s'apprête à faire un très gros effort financier à l'égard de son immense population agricole en lui attribuant une enveloppe record de 150 milliards de yuans, soit 18 milliards d'euros.
Des représentants des ministères de l'Agriculture du Canada et des États-Unis se pencheront sur des questions qui préoccupent les deux pays, entre autres, le commerce transfrontalier, l'encéphalopathie spongiforme bovine, le bioterrorisme et la mise en valeur régionale.