Le Conseil canadien de l'horticulture (CCH) a adopté une approche proactive à l'égard de la salubrité, concrétisée par son programme national de salubrité à la ferme destiné aux producteurs canadiens de fruits et de légumes frais.
La semaine de la « Fraîch'attitude », organisée du 17 au 28 mai, cherche à relancer la consommation des fruits et légumes frais qui ont de plus de plus de mal à trouver le chemin des assiettes des Français, en dépit de leur valeur nutritionnelle et de l'avancée de l'obésité.
Une enquête réalisée dans le cadre de la campagne pour une saine alimentation 5 à 10 par jour! révèle que 87 % des Canadiens et des Canadiennes savent que la consommation de fruits et de légumes peut contribuer à prévenir certaines maladies.
Le ministère de l'Agriculture a annoncé un plan d'aide de 15 millions d'euros pour les producteurs de fruits et légumes qui ont connu « d'importantes difficultés de commercialisation de leurs produits ».
Subventionner les produits sains comme les fruits et légumes pour en diminuer le prix et favoriser leur consommation, notamment par les ménages les plus modestes, est l'une des pistes avancées dans un rapport parlementaire sur la prévention et la prise en charge de l'obésité.
Des dizaines de Parisiens se sont précipités jeudi dernier dès 08H00 place de la Bastille pour acheter pommes de terre, tomates ou brugnons vendus à « prix vérité » par le syndicat agricole Modef, qui entendait alerter sur les difficultés des producteurs et dénoncer la grande distribution.
Une nouvelle étude révèle que l'industrie canadienne des fruits et des légumes biologiques est en expansion, mais que cette expansion est très lente et que les ventes représentent toujours un marché à créneaux dans la plupart des régions du Canada.
Les producteurs de fruits et les producteurs de légumes des divers coins du pays ont été touchés par de mauvaises conditions climatiques en 2004, le temps frais ayant nui à un grand nombre de cultures.
Hervé Gaymard a annoncé plusieurs mesures pour soutenir la filière fruits et légumes en crise, dont 10 millions d'euros d'aides directes de trésorerie et une « enveloppe exceptionnelle » de 50 millions d'euros de prêts de consolidation.