Le gouvernement américain autorise Monsanto à commercialiser de nouveau sa luzerne Roundup Ready, non sans grincements de dents de la part d'opposants.
La résolution de ce différend améliorera l'accès au marché pour les produits agricoles canadiens génétiquement modifiés, tout particulièrement les graines de canola.
Des représentants de la société sonnent l'alarme concernant les conséquences dangereuses de l'autorisation par le Canada du mais OGM SmartStax contenant huit gènes, ce qui indique un autre affaiblissement de la réglementation environnementale.
La Commission de l'éthique de la science et de la technologie (CEST) annonce la publication d'un supplément à son avis de 2003 sur les OGM : Regard éthique sur les technologies de restriction de l'utilisation génétique.
Une large coalition d'organismes de la société civile coordonnée par le Réseau québécois contre les OGM (RQcOGM) et le Canadian Biotechnology Action Network (CBAN) demande à tous les candidats et partis politiques de s'engager à appuyer un moratoire sur toute nouvelle autorisation d'OGM au Canada.
Option consommateurs est extrêmement déçu du rejet du projet de loi privé C-517 par la Chambre des communes, qui aurait enfin rendu l'étiquetage des organismes génétiquement modifiés (OGM) obligatoire.
La Chambre des communes entame, à Ottawa, un important débat sur un projet de loi privé (C-517) du député de Rivière des Mille Iles, Gilles-André Perron. S'il est adopté, ce projet de loi rendra enfin obligatoire l'étiquetage des OGM au Canada.
Les résultats de tests de laboratoire réalisés pour le compte de Greenpeace révèlent que du riz contaminé par une variété de riz génétiquement modifié (OGM) et non-autorisé au Canada est vendu dans les supermarchés du pays.
L'interdiction de la France intervient le même jour où le Commissaire à l'environnement de l'Union européenne Stavros Dima, propose une interdiction de deux variétés de mais OGM (Bt11 and Bt1507) à cause des risques qu'ils posent à l'environnement.
Greenpeace invite le gouvernement du Québec et le ministre de l'Agriculture, M. Laurent Lessard, de prendre bonne note de cette prise de position historique de l'UPA et de tout faire pour en arriver à un résultat de politique publique au sujet de l'étiquetage obligatoire des OGM.