A l'occasion d'une rencontre des Nations unies à Ottawa, des groupes de consommateurs du Canada et de neuf autres pays réclament une norme internationale pour l'étiquetage des aliments génétiquement modifiés (OGM).
Sous la pression conjuguée des insectes ravageurs et de la concurrence internationale, les producteurs de maïs du Sud-Ouest vont tourner une page de leur histoire en 2006 se lançant pour la première fois dans la production commerciale de maïs eOGM, jusqu'à présent marginale.
Au lendemain de Pâques, les groupes du Réseau québécois contre les organismes génétiquement modifiés (RQcOGM) cherchent toujours des aliments ayant des étiquettes « avec OGM ».
La Commission européenne a décidé de renforcer l'examen scientifique des organismes génétiquement modifiés avant d'autoriser leur mise sur le marché, pour répondre aux critiques de nombreux Etats-membres qui jugent les risques sous-évalués.
Des représentants de l'Union européenne et des gouvernements des 25, réunis pour deux jours à Vienne dans le cadre d'une conférence sur la coexistence des cultures OGM et traditionnelles, ont manifesté leur volonté de chercher des moyens pour limiter au maximum les croisements entre ces deux types de cultures.
Le vote du Sénat français en première lecture du projet de loi sur les OGM, qui vise à en encadrer les cultures et les essais, est « une étape importante pour le développement des cultures OGM en France.
L'OMC a condamné l'Union européenne pour son régime d'importation d'organismes génétiquement modifiés (OGM), mais sans donner entièrement raison aux Etats-Unis, au Canada et à l'Argentine qui dénonçaient les restrictions mises en place par Bruxelles.
Greenpeace dénonce une décision de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) qui malheureusement appuie les efforts des Etats-Unis, du Canada et de l'Argentine pour forcer l'Europe d'accepter les OGM.
La décision de l'OMC condamnant l'ancien moratoire des Européens sur les autorisations d'OGM ne remet pas en cause la réglementation de l'UE, la plus stricte du monde, mais va mettre sous pression les Etats les plus anti-OGM qui veulent maintenir des interdictions nationales.