Le blé d'hiver est tellement bien enraciné qu'il ne ressent pas le manque d'eau encore. Une bonne pluie serait la bienvenue.

Sécheresse : jamais 2 sans 3?

Hier, il fallait descendre à 7 cm pour trouver de l’humidité

Pas de panique, je ne veux surtout pas stresser personne. Mais on dirait que le vieux dicton jamais deux sans trois est en train de se reproduire. Il est encore tôt et ça peux changer rapidement. Mais ça sent la sécheresse… On cherche la zone d’humidité pour bien placer notre semence et c’est de plus […] Lire la suite

Marché du maïs : de mieux en mieux ou de pire en pire, au choix…

Marché du maïs : de mieux en mieux ou de pire en pire, au choix…

Ce n’était pas nécessairement la meilleure année pour que ça arrive, mais c’est le cas: le début de saison est difficile et tarde aux États-Unis. Essentiellement, depuis la mi-avril, le temps frais et surtout les précipitations à répétition persistent dans le Midwest américain. Et, malheureusement, on annonce encore deux autres semaines de précipitations encore au-dessus […] Lire la suite


L'agriculture en mode Road Runner!

L’agriculture en mode Road Runner!

Ce matin, j’ai un horaire des plus chargé. Première pulvérisation. Je parviens à arriver tout juste à l’heure à la rencontre champ du bassin versant rivière Pot au Beurre. Visite aux champs avec les gens de l’IRDA. Écriture de mon texte. Deuxième pulvérisation… Bip Bip! Road Runner! Vous vous souvenez de ce dessin animé?

Nouvelle chronique de Jean-Marc Montpetit, agr.

Cultures : une nouvelle chronique dans Le Bulletin!

La chronique Entre deux rangs est publiée chaque mois dans le magazine et sur le site du Bulletin des agriculteurs

Le Bulletin des agriculteurs lance une nouvelle chronique sur le maïs, le soya et les céréales pour aider les producteurs à exceller encore davantage dans leurs cultures. Pour ce faire, Le Bulletin a déniché un expert en la matière : l’agronome Jean-Marc Montpetit.


Paul Caplette blé d'hiver

Un printemps de plans B

Spécial quand on revient à un printemps dans la normale. Vous me direz dans la normale? Je dirais un peu plus froid que la normale. On à plutôt l’impression d’être en retard parce qu’on se souvient de l’an passé qui, en fait, était une année exceptionnelle. Cette année on semble plutôt se diriger complètement de […] Lire la suite

"C’est un peu comme si je passais de la peinture à numéro vers des toiles de ma propre inspiration", Paul Caplette.

Pourquoi se soucier de l’agroenvironnement?

Se préoccuper de l’agroenvironnement est une chose. Parvenir à s’en servir comme levier économique en est une autre

On me pose souvent la question, et j’avoue que je me la pose à l’occasion. Surtout quand ça va moins bien et que le doute ou la surcharge de travail qu’on s’est nous-même imposée font leur œuvre. Premièrement, le mot agroenvironnement est très large de signification, tout comme le spectre élargi des actions qu’on peut poser sur nos fermes.



Photo d’archive, LeB, juin 2011

14 façons d’innover sans tout risquer

Si tout est bien planifié, on réduit ainsi les pertes de temps d’exécution

Faire ses propres essais à la ferme permet d’innover sans tout risquer. Que ce soit pour essayer un changement dans la fertilisation, un nouveau taux de semis, une nouvelle technique de semis ou carrément mesurer ce que notre sol a dans le ventre. Voici 14 facteurs à prendre en considération pour que les essais soient un succès.


Cette année, la marmotte a vu son ombre. Le dicton dit que l’hiver durera encore six semaines.

J’ai vu mon ombre

Les bons résultats d’une saison de culture sont le fruit des gestes quotidiens qu’on pose sur nos fermes

Cette année, Fred la marmotte a vu son ombre. Le dicton dit que l’hiver durera encore six semaines. Ben oui : 2 février + six semaines, on arrive au 16 mars. Aujourd’hui, le 29 mars, je vous confirme que nous sommes encore en hiver.