Lyle Vanclief a annoncé que les producteurs de bovins des Prairies qui mettent à paître leurs animaux dans des pâturages collectifs exploités par le gouvernement fédéral pourraient bénéficier de plus de temps pour payer leurs redevances.
Le nombre de bovins sur les fermes canadiennes a atteint un niveau record en juin à la suite de la fermeture de la frontière américaine aux bovins et aux boeufs canadiens dans la tourmente des préoccupations relatives à la maladie de la vache folle. Entre-temps, les stocks de porcs sont demeurés stables.
À titre d'exemple, le prix du bouvillon d'abattage est descendu à 52 ¢ la livre carcasse comparé à des prix de vente de l'ordre de 1,82 $ avant la crise.
Il est maintenant possible d'obtenir les données de juin sur les prix que les agriculteurs ont reçus pour les céréales, les oléagineux, les cultures spéciales, les fruits, les légumes, les bovins, les porcs, la volaille, les oeufs et les produits laitiers.
La Fédération canadienne des municipalités appuie les éleveurs de bovins canadiens dans leurs efforts en vue de faire rouvrir la frontière américaine aux importations de boeuf canadien.
Les effets du moratoire imposé aux produits bovins destinés à l'exportation touchent particulièrement l'industrie de la région de Saint-Hyacinthe qui est fortement orientée vers le secteur alimentaire.
Il est maintenant possible d'obtenir les données de mai sur les prix que les agriculteurs ont reçus pour les céréales, les oléagineux, les cultures spéciales, les fruits, les légumes, les bovins, les porcs, la volaille, les oeufs et les produits laitiers.
La ministre de l'Agriculture, des Pêcheries, et de l'Alimentation, madame Françoise Gauthier, a rencontré les 5 présidents des fédérations québécoises suivante : les producteurs de volaille, de porcs, de bovins, d'oeufs de consommation et d'oeufs d'incubation.
Cinq bovins originaires du troupeau canadien dans lequel un cas de vache folle a été détecté ont été vendus à une exploitation du Montana il y a six ans et ont depuis été abattus