Durant les premières semaines de mars, le Centre d'information sur le boeuf (CIB) s'associe avec les détaillants et les restaurateurs à travers le Canada afin d'encourager les consommateurs à « Pensez au boeuf canadien - pour les bonnes raisons. »
Cette campagne, qui a débuté en novembre et se poursuivra jusqu'en octobre 2004, vise à consolider le marché des produits alimentaires régionaux, notamment en faisant connaître ceux qui sont disponibles dans les boucheries et les supermarchés.
« Depuis longtemps, on sait que les allergies sont moins fréquentes à la campagne qu'en ville en raison du niveau de pollution. Mais il semblerait que le milieu rural offre en plus des éléments spécifiques qui immunisent les bébés contre les allergies ».
Cette campagne de promotion, qui s'échelonnera de la mi-août à la fin du mois d'octobre, vise principalement l'augmentation de l'achalandage chez les pomiculteurs et les entreprises agrotouristiques des Basses-Laurentides.
Lassés de devoir courir chaque jour et chaque nuit derrière les vaches égarées sur les routes de campagne, les gendarmes de la communauté de brigade de Villers-sur-mer (Calvados) verbaliseront désormais les propriétaires des animaux fugueurs.
Une campagne de sensibilisation grand public, destinée aux citadins des grandes régions de Québec et Montréal, se déploie actuellement dans la revue L'actualité, sur quelques 137 abribus ainsi que sur Internet, par le truchement d'un microsite.
Plusieurs groupes écologistes, dont Greenpeace, ont lancé à Bucarest une campagne contre les organismes génétiquement modifiés (OGM), dont les cultures de soya transgénique en Roumanie.
Pour cette première campagne nationale, des autocollants portant le slogan « Pas d'OGM dans mon assiette » ou « Ici, pas d'OGM » ont été édités et seront apposés « sur les vitrines des commerçants et restaurateurs volontaires », a-t-il ajouté.
Les Amis de la Terre ont lancé à Paris une campagne contre la multiplication des brevets sur les semences agricoles qui risque à terme de faire passer la totalité de la production agricole mondiale sous le contrôle de « quelques dizaines de multinationales », selon eux.