Quatre chefs réputés du Québec agiront à titre d'ambassadeurs des produits régionaux et de la gastronomie du Québec pendant l'événement Québec is cooking!
Archives du sujet Chicago — page 3
Chicago à l’heure de la gastronomie québécoise
La revue des céréales et des graines oléagineuses de novembre 2003
En décembre, les prix à terme du maïs et du soya à Chicago ont connu une hausse en raison de la faiblesse du dollar américain.
Le ministre Vanclief fait campagne en faveur du boeuf canadien à Chicago
Le ministre a insisté sur le fait qu'à la fois les éleveurs de bovins canadiens et les exploitants d'abattoirs américains se heurtent à des problèmes graves à la suite de la fermeture de la frontière.
La revue des céréales et des graines oléagineuses en mai 2003
En juin, les prix à terme du maïs à Chicago sont demeurés fermes en raison du rapport publié au milieu du mois par le United States Department of Agriculture (USDA).
Revue des céréales et des graines oléagineuses : avril 2003
En mai, les prix à terme à Chicago du maïs se sont affermis en raison des incertitudes causées par le climat pendant la première moitié du mois, mais ils ont reculé lorsqu'un temps plus chaud et plus sec dans la ceinture du maïs a permis aux exploitants d'achever les semis à toutes fins pratiques au 1er juin.
Revue des céréales et des graines oléagineuses de mars 2003
En avril, les prix à terme du soya et du maïs à Chicago se sont maintenus, en dépit de la faiblesse saisonnière qui caractérise habituellement ce mois.
Décembre 2002 : La revue des céréales et des graines oléagineuses
En janvier, les prix à terme à Chicago du soya et du maïs ont subi des pressions en raison des estimations révisées du rapport du United States Department of Agriculture en milieu de mois.
Revue des céréales et des graines oléagineuses : septembre 2002
Les prix à terme du maïs de Chicago ont baissé vers la fin d'octobre. Les prix à terme du soya ont fait meilleure figure.
La culture culinaire québécoise à Chicago
Au cours des derniers jours, des chefs ont pris part à un échange avec la plus prestigieuse institution d’art culinaire et d’hôtellerie de Chicago, le Kendall College, et à la réalisation d’un dîner-bénéfice au réputé Drake Hotel, auquel assistaient 300 convives.
