Qui aurait cru possible un jour de voir sur la même scène José Bové, leader altermondialiste, anti-ogm et André Beaudoin représentant de la toute puissante UPA.
José Bové, qui « doute » de la sincérité de la mission parlementaire sur les OGM, appelle les « faucheurs volontaires » à arracher les essais d'OGM en plein champ à partir du 18 juin.
L'ancien porte-parole de la Confédération paysanne José Bové assure dans « France Soir » qu'il est « hors de question » qu'il s'engage dans la vie politique.
Pour remplacer Jové Bové, la Confédération Paysanne a décidé lors de son 10ème congrès à Strasbourg de choisir un duo de porte-parole, Brigitte Allain et Jean-Emile Sanchez.
José Bové s'est réjoui de l'échec des négociations de l'OMC à Cancun, au Mexique, et a plaidé en faveur d'un moratoire sur l'agriculture, les services et les règles d'investissement, afin de procéder à un bilan.
José Bové, le chef de file de la Confédération paysanne, est sorti samedi peu avant à 14h de la maison d'arrêt de Villeneuve-lès-Maguelone (Hérault), ou il était incarcéré depuis le 22 juin pour avoir arraché des plants transgéniques.
L'emprisonnement de José Bové, pour des gestes symboliques de légitime défense contre la dictature des OGM et de l'agriculture productiviste d'exportation, est un affront à la liberté syndicale et à la liberté d'expression des citoyens.
La Confédération paysanne a annoncé la poursuite de la mobilisation contre les organismes génétiquement modifiés (OGM), en dépit de l'incertitude planant sur la grâce de son leader José Bové.
José Bové doit purger une peine de dix mois de prison. En dépit de cette condamnation, le leader paysan reste combatif. Il a réaffirmé la nécessité de lutter contre les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM), « si nécessaire en dehors du cadre légal ».