Une douzaine dentreprises agroalimentaires et artisanales de toute la région Beauce-Etchemins et quelques-unes de Chaudière-Appalaches sont présentes à toutes les semaines avec une gamme de plus en plus diversifiée de produits frais et transformés.
Avis aux clients de l'Assurance-récolte et du Revenu de marché : la date limite pour la déclaration à Agricorp de la superficie plantée au printemps approche à grands pas.
Avec la montée en flèche du mercure dans les thermomètres, les turbines tournent à plein chez les fabricants de crèmes glacées dont le marché, très atomisé, est dominé par deux géants de l'industrie agroalimentaire mondiale, Unilever et Nestlé.
« Ce qui se cache dans les détails est de très mauvais augure, a affirmé le ministre Vanclief, pour exprimer son inquiétude et sa frustration au sujet du projet de loi. Selon la secrétaire américaine à l'Agriculture, MmeAnn Veneman, ce projet de loi est fondé sur les conditions du marché. Il s'agit plutôt, selon moi, d'un projet de loi basé sur l'envoi de fonds par la poste. »
Première puissance commerciale au monde - devant les Etats-Unis -, l'Union est un immense marché de 300 millions de consommateurs, bientôt 500 millions, selon toute vraisemblance. Mais justement, elle aspire à devenir autre chose qu'un « marché commun ».
Le ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Affaires rurales de l'Ontario ainsi qu'Agriculture et Agro-alimentaire Canada viennent d'annoncer que le Programme d'assurance du revenu de marché sera prolongé jusqu'à la fin de 2002.
AGRICORP a indiqué que les paiements d'assurance du revenu de marché, qui s'élèvent à plus de 40 millions de dollars, seront postés d'ici la mi avril aux producteurs admissibles de soya, de tournesol et de blé d'hiver.
Les producteurs de céréales et d'oléagineux de l'Ontario recevront environ 80 millions de dollars pour la campagne agricole de 2001 grâce à une entente prévoyant le prolongement du Programme d'assurance du revenu de marché conclue avec le gouvernement fédéral.
Le gouvernement argentin mettait une dernière main à une série d'augmentation des impôts pour les secteurs tournés vers l'exportation, favorisés par la dévaluation du peso, afin de répondre à l'exigence du Fonds monétaire international de contrôler le déficit fiscal et normaliser le marché des changes.