Ce projet de loi, qui devra être transmis ensuite au Conseil d'Etat, concerne la transposition en droit français de deux directives européennes, ajoute-t-on au ministère de l'Agriculture.
Bien décidés à s'affranchir de l'industrie semencière et soucieux de ne pas utiliser d'OGM, des agriculteurs du grand Sud-Ouest mènent une expérience unique en France en produisant des semences « bios » dans un champ de Dordogne, sur la commune du Change.
L'Union européenne a donné son feu vert à la commercialisation pour la première fois de semences contenant des organismes génétiquement modifiés (OGM).
La Commission européenne a renoncé à la surprise générale à adopter un projet controversé de directive sur le seuil maximum d'organismes génétiquement modifiés (OGM) dans les semences.
Une quarantaine de militants anti-OGM ainsi que les représentants de neuf mairies ont créé la première association de communes interdisant les cultures transgéniques sur leurs sols.
Le député Vert Noël Mamère a réclamé la création d'une commission d'enquête parlementaire sur « l'impact des OGM sur l'agriculture, l'environnement et la santé ».
La bataille sur les OGM a repris en France où un rapport d'experts affirme que les organismes génétiquement modifiés pourraient être bénéfiques pour la santé, alors que les écologistes se sont de nouveau attaqués à des champs de maïs modifié.
Les autorités américaines devraient vérifier l'innocuité de certains aliments génétiquement modifiés avant leur mise en vente, conclut un rapport de scientifiques indépendants.