Cultiver la biodiversité

Cultiver la biodiversité

Nos champs changent. Ouvrez l’œil

Aujourd’hui une équipe vient planter pratiquement 1 km d’une nouvelle haie brise-vent en même temps qu’une bonification d’une bande riveraine. On essaie deux espèces d’arbres fruitiers pour la première fois. En voulez-vous de la biodiversité? En voilà!





La synchronisation de la destruction du couvert était à 24 heures de la limite.

Le défi de l’agronomie synchronisée

Semer dans le vert est tout un contraste par rapport à nos anciennes méthodes

La pluie des derniers jours a fait réagir les champs rapidement. Je dois traiter mon couvert végétal avant que le canola sorte de terre. Un synchronisme qu’on gère de mieux en mieux afin de garder le sol couvert le plus longtemps possible.

Le couvert végétal pompe l’eau, stabilise le sol et nourrit nos microorganismes. Il ne nous reste qu’à les laisser travailler à notre place et sortir le semoir quand c’est le temps.

Une vraie job de paresseux

On se retrouve avec plus de 35 % de nos surfaces de récoltes déjà semées sans avoir eu l’impression de travailler

On nous annonce encore de la pluie jusqu’à jeudi. Ensuite, on aperçoit une mince fenêtre de quatre cinq jours chauds et ensoleillés qui devraient être suivis d’une autre séquence de pluie. Il me semble que les fenêtres sont de plus en plus complexes à gérer. Plus courtes en plus.



En vélo ou en VTT, au beau soleil, c’est pareil. Sauf qu’il manque la crème glacée molle. Un beau week-end agricole!

Premiers semis efficaces

Je n’ai jamais semé du trèfle en VTT en petit chandail au beau soleil

Lundi dernier, on avait de la difficulté à se rendre aux champs en pick-up. Et voilà que la chaleur se pointe le nez. Une semaine plus tard, on a semé le trèfle en VTT et terminer le blé de printemps. Quel beau week-end agricole!


Le blé redécouvre la puissance du soleil. Photo : Paul Caplette

De quoi aura l’air le blé d’hiver?

Après sept mois de patience, il nous reste encore quelques jours de suspense

Enfin, ça commence à ressembler au printemps dans notre secteur. Les prochains jours vont nous permettre de bien évaluer condition de notre blé d’hiver. À chaque printemps, on revit l’intrigue de cette belle et énigmatique culture qui nous amène à nous surpasser.

Quand le mot environnement fait peur

Quand le mot environnement fait peur

Il n’y a rien de plus performant qu’un agriculteur motivé

Il n’est pas rare qu’au cours d’un atelier de cocréation, on parvienne à trouver des solutions innovatrices pour améliorer les choses. Puis, quelqu’un mentionne qu’il faudra que ça passe par le ministère de l’Environnement. Bang! C’est le silence.