Dans le cadre de son 77e congrès général annuel, l'Union des producteurs agricoles (UPA) et ses partenaires ont annoncé un projet d'implantation sur les fermes d'un système de gestion environnementale, une première en Amérique du Nord.
Le gouvernement de l'Ontario investit 323 721 $ dans un projet pilote visant à améliorer la salubrité alimentaire à la ferme, chez les producteurs de fruits et de légumes de la province.
L'objectif de ce projet est de vérifier la faisabilité et la rentabilité potentielle de différents modes d'apport de sélénium permettant de combler les besoins des agneaux lourds et des agnelles de remplacement à partir du sevrage.
L'objectif du projet est de structurer l'utilisation des outils d'amélioration génétique ovin québécois pour permettre l'identification des sujets de génétique supérieure et leur diffusion dans les troupeaux de race pure et commerciaux.
Le projet de loi C-287 n'a pas franchi l'étape de la deuxième lecture à la Chambre des communes mais il a démontré une profonde division au sein du gouvernement Libéral sur cette question. Ce projet de loi forçait l'étiquetage obligatoire de tous les produits contenant des OGM.
« L'étiquetage d'aliments génétiquement modifiés constitue un dossier sérieux et complexe », a déclaré Mme Janet Lambert, la présidente de BIOTECanada. « Le projet de loi C-287 faisait peu de chose pour promouvoir un débat réfléchi. En fait, il proposait une conception très étroite de l'étiquetage obligatoire. »
Ce projet, qui doit encore faire l'objet de négociations d'ici Doha, se veut prudent et volontairement bref sur certains des principaux sujets contentieux comme l'agriculture ou l'environnement.
Un projet soutenu par Monsanto en Afrique du Sud a reçu le premier prix, soit le ABSA Gold Trophy, décerné par le premier ministre du KwaZulu-Natal, en collaboration avec PricewaterhouseCoopers.