Ce devrait être une bonne année pour le maïs-grain et pour le soya, si l'on s'en remet aux données de la Financière agricole publiées par l'Institut de la statistique du Québec le 24 septembre dernier.
La Fédération des producteurs de bois du Québec estime qu'une mise en valeur dynamique de la forêt privée peut contribuer à réduire l'impact de la baisse de possibilité de récoltes forestières sur les terres publiques annoncées par le forestier en chef du Québec.
Les récoltes françaises, sauf pour ce qui concerne le maïs, seront abondantes en 2005, contrairement à celles des deux années de canicule de 1976 et 2003, malgré la sécheresse qui oblige à restreindre l'usage de l'eau dans 66 départements.
La Corporation de Gestion des Marchés Publics de Montréal (C.G.M.P.M.) a obtenu une ordonnance de sauvegarde de la Cour supérieure du Québec qui a pour effet de suspendre l'application du projet de piétonisation du marché Jean-Talon.
Les récoltes françaises devraient être abondantes en 2005, malgré la sécheresse qui affecte une grande partie de l'Hexagone, ce qui pourrait poser des problèmes pour les prix payés aux producteurs.
Le mauvais temps des dernières semaines en Bretagne a fortement touché les récoltes de céréales, perturbant les moissons, altérant une partie des récoltes et faisant craindre aux céréaliers une saison aussi mauvaise qu'après la sécheresse de 2003.
La fondation philanthropique Bill et Melinda Gates a octroyé 25 millions de dollars à un institut de recherche agronomique international pour le développement de récoltes « biofortifiées », enrichies notamment en vitamine A pour combattre la malnutrition dans les pays pauvres.
L'exceptionnelle canicule qui sévit sur l'Europe depuis plusieurs semaines est en train de détruire une partie des récoltes de céréales, notamment celle de blé, mais l'offre mondiale ne devrait pas être trop affectée.
La sécheresse et la chaleur qui sévissent depuis de longues semaines ont un effet dramatique sur les récoltes et les pertes, selon les secteurs, oscillent entre 15% et 80%.
Malgré de meilleures récoltes et une plus grande disponibilité de la nourriture, la reprise du secteur agricole en Afrique australe reste très fragile et plusieurs communautés rurales ont encore besoin d'aide agricole d'urgence pour les 12 prochains mois.