En regroupant 80 % de ses vêlages dans les trois premières semaines de janvier, l’éleveur d’Angus David Sample obtient des taureaux aptes à entrer au pâturage avec un troupeau de vaches l’été de l’année suivante. Ils gagnent ainsi trois à quatre mois comparativement aux veaux nés au printemps. À lire en couverture du Bulletin.
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À la Ferme Roger Beauchemin, toutes les pratiques contribuent à améliorer les sols, même après la vente du quota laitier.
Faire varier le taux de semis selon des zones de productivité d’un champ serait encore plus payant avec le soya que dans le maïs. Aaron Breimer, conseiller en cultures et dirigeant d’une boîte spécialisée en agriculture de précision en Ontario, en est persuadé. Il sera d’ailleurs conférencier aux Conférences du Bulletin au Salon de l’agriculture.
Les céréales sont une culture intéressante pour toutes les régions du Québec dans une approche globale de rotation des cultures. Voici notre guide céréales 2016 qui comprend les nouveautés et les coups de cœur des semenciers pour la prochaine saison.
Lawrence Andres, producteur laitier biologique en l’Ontario, élève ses génisses avec des vaches nourrices depuis une vingtaine d’années. Quelques producteurs québécois ont également opté pour cette avenue le printemps dernier. Pour producteurs avertis seulement!
Il n’y a pas que les retraités qui migrent dans le Sud l’hiver. Certains producteurs maraîchers québécois font aussi ce choix et déménagent quelques mois leurs activités là où le climat est plus clément. Le but : fournir leurs marchés toute l’année. Un article à lire dans le numéro de décembre du Bulletin.