6 juillet 2001 – Les aliments génétiquement modifiés devront désormais être « testés et approuvés » par les gouvernements avant d’être mis sur le marché. Au total, 165 pays sont concernés !
La 24ème session de la Commission du Codex Alimentarius, – une instance intergouvernementale commune à l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et à l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) – a débouché sur une décision historique.
À lire aussi

Agenda des événements agricoles
Portes ouvertes à l’Institut de technologie agroalimentaire, portes ouvertes sur les fermes du Québec :tous les détails dans votre agenda hebdomadaire des évènements agricoles.
L’objectif est notamment de mieux appréhender le pouvoir allergénique des OGM. D’après le Dr Gro Harlem Brundtland, Directeur général de l’OMS, « il s’agit de la première mesure mondiale visant à évaluer la salubrité des aliments génétiquement modifiés. Un accord d’une importance capitale pour tous, notamment les pays en développement ».
La Commission a également fixé des teneurs maximales pour certains toxiques alimentaires comme le plomb, le cadmium ou encore l’aflatoxine. Elle a enfin délivré des directives pour l’élevage biologique. Celles-ci concernent notamment la reproduction, l’alimentation ou encore les médicaments vétérinaires.
Source : OMS