5500 kg/ha de blé avec peu d’azote

Yeesss! 5500 kg/ha de blé de printemps avec seulement 90 unités d’azote. Je pourrais dire victoire et considérer continuer dans la même veine. Après tout, 5500 kg c’est bien au-delà de la moyenne de mon secteur évalué par la Financière. En fait, 2016 est une année exceptionnelle pour les céréales. Du jamais vu! Mais si […] Lire la suite



Bipolaire

Déjà plus d’une quinzaine de jours que je souhaitais de la pluie. Ici, pas de stress évident, mais mieux vaut en avoir en réserve que plus rien du tout. Maintenant qu’on a reçu tout près de 50 mm, on stresse pour finir de ramasser le blé de printemps avant que la nouvelle pluie annoncée provoque une baisse de qualité de la précieuse récolte...



As-tu ma pièce?

Le lisier vient tout juste d’être épandu. Je m’empresse de l’incorporer le plus rapidement possible pour éviter les pertes d’azote. À peine une montée de fait et mon cylindre de chisel décide de rendre l’âme… Passe au téléphone en faisant le tour des détaillants autour pour vérifier s’ils ont quelque chose de semblable en inventaire.

Ladies and gentlemen : Start your combine!

Avouez qu’il y a quelque chose de spécial quand on voit une moissonneuse-batteuse. Je crois que la majorité des jeunes qui passent par une foire agricole jette un coup d’œil particulier sur ce gros engin impressionnant et spectaculaire à la fois. Ce matin, je suis excité. Tout est en place dans le camion. 8 h : je suis déjà autour de Gertrude.


De la théorie à la pratique

On avait pourtant bien établi le plan de ségrégation des grains pour faciliter la manipulation de nos blés de semence. Mais des délais de livraison pour notre soya IP font qu’un des silos prévus ne sera pas disponible pour accueillir le blé. On passe au plan B.

Jamais deux sans trois

Tranquillement, les cartes tombent une à une et, malheureusement, on est loin de la quinte flush royale qui nous permettrait cette année de crier victoire pour ceux qui ont du grain à vendre. Après le rallye de printemps, mauvaise nouvelle, plus de superficies aux États-Unis et retour de bonnes conditions météo. Nervosité dans l’air entourant […] Lire la suite


Une bande riveraine payante

Au début, juste de penser laisser un mètre de bande non cultivée au bout des cours d’eau était un sacrifice. Hey « au prix que la terre coûte, pas moyen de perdre de terrain ». Et pourtant, dès qu’on s’est appliqué à s’éloigner un peu plus des cours d’eau, on n’a observé que des gains.

Regarder en avant!

La cavalerie des récolteuses à pois est arrivée. C’est bruyant, excitant. Dire que je suis passé de mon analyse pessimiste avant mes vacances à de plus en plus optimiste au fur et à mesure que la récolte approche. Après un tour de récolteuse, on évalue des rendements au pif. Peut-être 7,5 t/ha. Wow!