La conférence de Cancun sur le commerce international s'est conclue dimanche sur un échec, les pays riches et les pays pauvres ne parvenant pas à surmonter leurs profondes divisions sur les dossiers de l'agriculture et des règles d'investissement.
« Tous les pays devraient avoir le droit de se protéger des subventions agricoles des grandes puissances et d'assurer le développement de leur agriculture. C'est crucial pour l'avenir de l'agriculture et de l'agroalimentaire, chez nous et ailleurs dans le monde » a affirmé M. Laurent Pellerin
Des dirigeants agricoles canadiens ont rencontré leurs homologues étrangers cette semaine pour discuter de questions clés et pour transmettre des messages communs aux ministres qui assistent à la 5e rencontre ministérielle de l'OMC à Cancun, au Mexique.
L'approche des modalités dans les négociations sur l'agriculture n'a pas marché. Les négociateurs doivent adopter des approches plus pragmatiques, avec un échéancier plus raisonnable.
En août, le sous indice de l'agriculture a connu une remontée de 2,8 %, soutenue par les révisions à la baisse des prévisions de récolte dans des secteurs clés de culture.
Le rapport fait le point sur les activités réalisées dans chacun des domaines d'intervention de la troisième phase : implication communautaire, agriculture, biodiversité, industriel et urbain, navigation et santé humaine.
Les Québécois connaissent aujourd'hui mieux l'agriculture biologique et une plus grande proportion consomment des produits biologiques par rapport à 2001.
Le plan en agriculture de madame Copps a comme fondement trois objectifs stratégiques: créer un précédent pour la durabilité de l'industrie agro-alimentaire canadienne, assurer la sécurité financière pour les fermiers canadiens et fournir un approvisionnement en nourriture sans danger à la consommation pour les Canadiens.