L'industrie des produits de la mer, évaluée à 400 milliards de dollars, doit s'adapter à l'intensification de la demande des détaillants et des consommateurs pour du poisson « écolo », selon la FAO.
La création d'une agence d'information et de communication agricole et rurale dont l'unique rôle serait d'informer et de sensibiliser le consommateur sur son alimentation et les produits agricoles qui en sont à l'origine, est l'une des recommandations contenues dans le mémoire que l'Ordre des agronomes.
L'Institut économique de Montréal (IEDM) estime que la gestion de l'offre du lait, des oeufs et de la volaille coûte au moins 300 $ par an de plus à une famille de quatre personnes au Québec, soit 575 M $ pour tous les Québécois.
La FCA a publié les résultats d'une étude pancanadienne qui révèle que les consommateurs canadiens appuieraient un programme d'étiquetage en vue d'identifier et de promouvoir les produits cultivés au Canada dans les marchés et sur les tablettes des épiceries.
A l'occasion d'une rencontre des Nations unies à Ottawa, des groupes de consommateurs du Canada et de neuf autres pays réclament une norme internationale pour l'étiquetage des aliments génétiquement modifiés (OGM).
« Consommez des produits laitiers authentiquement québécois en préférant les produits laitiers faits d'abord de lait et de crème dont la liste des ingrédients est courte et simple ».
La volaille, qui avait profité de la désaffection des consommateurs européens pour la viande bovine pendant les crises de la « vache folle », est à son tour victime de la méfiance du public, inquiet des conséquences de la grippe aviaire.
Trente-deux organisations paysannes, de défense des consommateurs et de protection de l'environnement ont lancé à Berne une campagne en faveur de l'initiative « Pour des aliments produits sans manipulations génétiques ».