L'Union européenne s'en est prise aux grands pays émergents du G20, surtout le Brésil, en les menaçant à nouveau de perdre, par manque de réalisme, les avantages considérables déjà mis sur la table pour le cycle de Doha.
Les producteurs canadiens de lait, de volaille et d'oeufs réclament du gouvernement canadien qu'il rejette catégoriquement les propositions commerciales déposées par l'Union européenne et les Etats-Unis la semaine dernière à l'OMC.
L'Union européenne, divisée par l'offensive française sur l'agriculture, a dix jours pour convaincre ses partenaires de l'OMC d'accepter un compromis sur la baisse des barrières douanières dans le monde.
Les remarques faites par le ministre du Commerce international, Jim Peterson, au sujet des négociations de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) préoccupent la Fédération canadienne de l'agriculture (FCA).
Washington a repris l'initiative en annonçant être prêt à accepter une baisse de 60% sur cinq ans des aides internes qui faussent le plus les échanges mondiaux et sont dénoncées par les pays en développement.
Pour les producteurs canadiens, les négociations de Doha sur l'agriculture offrent une possibilité réelle d'égaliser les chances sur le plan international.
Les 148 pays membres de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) doivent conclure rapidement un compromis agricole pour relancer leurs négociations sur la baisse des barrières douanières dans le monde.
Des progrès ont été accomplis mais aucune percée n'a été réalisée sur la baisse des aides à l'agriculture dans le monde lors de la réunion à Paris de quatre grands acteurs de l'OMC.
Après les dernières négociations à l'Organisation mondiale du commerce (OMC), les agriculteurs du monde entier se sont fait promettre une amélioration de leur sort par un accord sur l'agriculture du GATT/OMC.