Le nouveau directeur général de l'OMC, Pascal Lamy, a averti qu'il n'a pas de « baguette magique » pour relancer les négociations sur la libéralisation des échanges.
Les 148 pays membres de l'OMC se sont séparés après trois jours de discussions qui n'ont pas permis de relancer les négociations sur la libéralisation des échanges, malgré la présence de plusieurs poids lourds du commerce mondial.
La réunion de l'OMC à Dalian (nord-est de la Chine) a permis d'avancer sur le volet agricole des négociations en vue d'une libéralisation du commerce mondial, qui reste l'un des plus importants sujets de contentieux entre pays riches et pauvres.
L'équipe de négociation du Canada a fait valoir les intérêts canadiens dans les négociations du Programme de Doha pour le développement, qui se sont tenues à Dalian, en Chine, les 12 et 13 juillet 2005.
Les principales puissances commerciales ont réalisé une percée, à Paris, sur la question très technique de la conversion en pourcentage des droits de douane agricole.
Les négociations à l'OMC pour libéraliser le commerce mondial sont « au bord de la crise », a averti le directeur général de l'Organisation mondiale du commerce Supachai Panitchpakdi.
« Le gouvernement du Canada doit être plus ferme dans ses négociations à l'OMC sur le commerce agricole car le cadre actuel de négociation ne permettra pas d'atténuer les déséquilibres entre les pays participants. ».
Des modifications législatives proposées au Parlement permettraient au Canada de respecter ses obligations à l'égard de l'Organisation mondiale du commerce (OMC).
Les ministres du Commerce de 33 pays ont promis d'élaborer d'ici le mois de juillet un plan de diminution des subventions agricoles dans les pays riches.
Le gouvernement du Canada s'est réjoui de la décision rendue par l'Organe d'appel de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), qui confirme la conclusion précédente d'un groupe spécial de l'OMC.