Les États-Unis ont perdu un appel interjeté devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC) concernant une décision qui blanchissait la CCB d'accusations de pratiques commerciales déloyales.
La Fédération canadienne de l'agriculture (FCA) reconnaît qu'il s'agit d'un progrès par rapport aux propositions antérieures, mais demeure déçue par certains aspects de l'accord.
Le Canada a marqué des points importants à Genève lors des négociations relatives à l'accord-cadre sur l'agriculture de l'Organisation mondiale du commerce (OMC).
Malgré que l'Accord soit une version améliorée, des préoccupations demeurent par rapport aux trois aspects de la négociation en agriculture (soutien interne, concurrence à l'exportation et accès aux marchés).
Les gouvernements occidentaux et asiatiques ont bien réagi à l'accord de relance des négociations sur une libéralisation des échanges intervenu à l'OMC.
L'Organisation mondiale du commerce (OMC) a vu sa crédibilité restaurée par l'accord commercial conclu in extremis le week-end dernier, qui vient relancer les négociations du cycle de Doha, mais plusieurs responsables ont reconnu que le chemin vers une libéralisation effective des échanges restait semé d'embûches.
Le compromis sur l'agriculture arraché à Genève la semaine dernière conforte la politique agricole commune (PAC) de l'Union européenne, désormais légitimée par un accord international estampillé OMC.
« Si le Canada peut se féliciter d'avoir satisfait à certains de ses objectifs, notamment l'engagement de réduire les subventions à l'exportation, il faut se garder de pavoiser. La partie qui s'entamera avec la prochaine phase de négociations devra se jouer très serrée, et on aurait tort de baisser la garde ».
L'Organisation mondiale du commerce (OMC) cherchait à faire accepter à ses 147 membres un accord agricole intervenu entre cinq puissances (USA, UE, Inde, Australie, Brésil).