Notre journaliste André Dumont a parcouru l’île d’Orléans jeudi, avant et après une averse. Voici la première partie de son photoreportage. Cliquez ici pour voir la suite.
Le printemps exceptionnel que nous connaissons pourrait se prêter à des semis de maïs très hâtifs. Dans ce cas, quelle profondeur de semis faudrait-il viser?
Si le printemps demeure aussi clément, vous pourriez semer beaucoup plus tôt qu'à l'habitude, avec les avantages et les risques que cela entraîne. Qu'en est-il du danger de dommages par le gel et de l'admissibilité à des indemnités d'assurance?
La vague de chaleur qui réchauffe l'Amérique du Nord se poursuivra jusqu'à jeudi. Des records de température ont été fracassés en fin de semaine dernière et aux États-Unis, certains producteurs se sont déjà risqués à semer du maïs.
Si vous cherchiez une ou deux raisons de plus pour amorcer une conversion au semis direct, les conditions difficiles de ce printemps pourraient vous convaincre.
En Montérégie, des producteurs sont entrés au champ semer du maïs ce matin (mardi), même si les conditions de sol ne sont pas parfaites. D'autres prévoient le faire à compter de demain (mercredi).
Il y a des risques à semer son maïs très tôt, dans des conditions de sol difficile. Face aux avantages de profiter d'une saison de croissance plus longue, en valent-ils la chandelle?
D'après les prévisions à court et moyen terme d'Environnement Canada, il y a de bonnes chances que les prochains mois soient plus humides que la moyenne.