Le produit intérieur brut (PIB) de l'industrie bioalimentaire croît de 3,5 % durant la période de 2003 à 2006, atteignant 15,9 milliards de dollars en 2006.
« Après cette vaste consultation, qui a servi à bien cerner les défis et les enjeux auxquels est confronté le secteur agricole et agroalimentaire, il est maintenant temps que tous les acteurs interpellés par ce rapport s'engagent ensemble dans la voie du changement », a indiqué le ministre.
Le gouvernement ne devrait pas accroître l'aide publique à l'industrie porcine mais plutôt l'encourager à se réorganiser afin d'augmenter sa productivité.
« L'heure est grave : si les parties n'agissent pas rapidement de façon responsable en négociant activement et de bonne foi, on assistera d'ici peu à l'effondrement de la filière porcine québécoise »
La Fondation des entreprises en recrutement de main-d'oeuvre étrangère rétablit les faits quant aux conditions des travailleurs agricoles saisonniers au Québec.
Le Prix Hommage aux femmes en agroalimentaire, décerné pour la deuxième année consécutive, a pour but de reconnaître et de mettre en valeur l'apport des femmes dans ce domaine au Québec.
On ne peut que se réjouir du fait que l'UPA semble commencer à comprendre que la crise de confiance envers les agriculteurs n'est pas qu'une affaire de mauvaise perception des pratiques agricoles modernes mais qu'il est nécessaire de remettre en question ces pratiques elles-mêmes.
Le ministre Arseneau a indiqué que le Québec souscrit aux objectifs du projet. Toutefois, il n'a pas obtenu toutes les garanties liées à la souplesse recherchée pour que l'approche québécoise, notamment en matière de sécurité du revenu, soit respectée.
Alors qu'il entrevoyait une conjoncture difficile, le gouvernement a choisi d'augmenter de façon importante le soutien global offert à l'industrie québécoise.
En 2001, l'industrie bioalimentaire québécoise a fait preuve de beaucoup de dynamisme, plus particulièrement en ce qui concerne la création d'emplois et la croissance des exportations.