L'honorable Andy Mitchell, secrétaire d'État au Développement rural a animé un forum de discussion sur la dynamique ruraleurbaine le 27 février 2003 à SainteAnnedeBellevue (Québec).
Le gouvernement veut adapter l'enseignement agricole, qui accueille plus de 200 000 élèves, aux nouvelles demandes de la société, que ce soit en matière de sécurité alimentaire ou de gestion de l'espace rural, et harmoniser les formations supérieures sur les cycles européens.
« Cette annonce permettra d'assurer la vigueur du Canada rural », a ajouté M. Mitchell. « Elle aidera les institutions qui appuient les Canadiens ruraux et fournira également les outils nécessaires pour élargir et diversifier l'économie rurale. »
Quelles activités encourager dans le monde rural tout en protégeant l'environnement ? La question n'est pas récente et elle a déjà donné lieu à une littérature importante lors de la préparation de l'agenda 2000.
Les Journées nationales de la ruralité tenues les 14 et 15 mars dans la Capitale Nationale ont permis aux leaders locaux de convenir d'une interprétation commune de la Politique nationale de la ruralité et d'expliquer les principaux outils de la Politique comme le pacte rural.
Il s'emploiera, à la tête de l'organisation regroupant 34 Etats membres, à promouvoir les mesures pertinentes pour un développement durable de l'agriculture et l'amélioration de la qualité de vie des travailleurs du monde rural, partout dans cette région du globe.
Les chefs de file du développement rural d'un bout à l'autre du pays se réuniront à Charlottetown, à l'Île-du-Prince-Édouard, les 4, 5 et 6 avril prochains, à l'occasion de la 2e Conférence rurale nationale.
Les professeurs Réjean Landry de la Faculté des sciences sociales et Guy Debailleul de la Faculté des sciences de l'agriculture de l'Université Laval viennent de compléter une étude d'envergure provinciale sur la cohabitation en milieu rural liée aux activités agricoles, notamment à l'industrie porcine.
Le comité consultatif indépendant de douze membres sera chargé d'évaluer les demandes et de proposer le financement des projets dans le cadre du programme ontarien de développement économique rural, programme sur 5 ans auquel sont alloués 200 millions de dollars.