Laurent Pellerin s'est présenté devant le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement dans la cadre de la consultation sur le projet de construction de l'autoroute 30.
En plus de menacer trois rivières et près de 500 hectares de terres agricoles parmi les plus belles du Québec, ce projet insensé fera également disparaître des boisés et des milieux humides pourtant riches en espèces fauniques et de poissons.
Aujourd'hui, plusieurs organismes issus du monde municipal, agricole, environnemental rural et des associations de consommateurs se réunissent afin d'amorcer une réflexion commune sur l'avenir de l'agriculture, de l'alimentation et du territoire québécois.
Avec la pression sans cesse croissante de l'étalement urbain sur les terres agricoles et la révision, qui plane dans l'air, de La loi sur la protection du territoire agricole (LPTA), il y a lieu de craindre le pire pour la base territoriale de l'agriculture au Québec, estime la Coalition pour la protection du territoire agricole.
Pour la première fois dans l'histoire du Québec, un mouvement de fond se met en place pour défendre l'intégrité du territoire agricole. C'est ainsi que la Coalition pour la préservation du territoire agricole voit le jour.
La Commission considère que l'aménagement du territoire en zone agricole doit être réalisé en tenant compte des particularités de chacune des MRC du Québec.
En plus de la protection des bois d'intérêt métropolitain, le RCI vise également à assurer la préservation de la zone agricole permanente existante sur le territoire de la CMM.
Les délégués du mouvement coopératif agricole ont élu deux nouveaux membres au Conseil d'administration. Il s'agit de M. Marc A. Turcotte qui représentera le territoire 1 et de M. Michel Douville qui, pour sa part, représentera le territoire 13.
Le ministère de l'Environnement a décidé d'engager un processus de révision des zones vulnérables aux nitrates d'origine agricole qui devrait concerner près de 50 % du territoire français.