Voilà enfin la période idéale pour fertiliser notre maïs 2025. Oups! Attention! Ne sursautez pas! Dans ce cas-ci, je fertilise en me servant du génie végétal… Tout en ayant une réflexion pour la relève...
Maître chez nous… et fertiliser le maïs 2025!
C’est un grand privilège d’avoir pu démarrer à 18 ans en agriculture avec notre propre entreprise
Épandre un fertilisant en mars : opération quitte ou double!
Je fouille dans nos statistiques, notre date d’application la plus hâtive : le 4 avril. Résultat : excellente année
Tout commence par une visite au champ vendredi au beau soleil. J’ai une idée un peu folle : et si j’appliquais mon démarreur avant la pluie annoncée? Idée farfelue : épandre en mars! Notre date d’application la plus hâtive : le 4 avril. Résultat : excellente année.
Maintenir le cap les années difficiles
Certains ont peur que ces gestes positifs deviennent de nouvelles normes minimales
Après une saison difficile, je ressens toujours un certain sentiment de stress et d’incertitude. En jonglant avec les colonnes à court terme, ça peut devenir tentant de couper sur les intercalaires ou de repousser l’amélioration de la bande riveraine. Il faut maintenir le cap.
Jongler avec les coûts qui augmentent
Nos dépenses en fertilisation ont augmenté de 60%, alors qu’on a diminué nos quantités appliquées
Je prépare la prochaine saison en comparant nos coût de production des dernières années. Nos dépenses en fertilisation ont augmenté de 60%. On paie 54% de plus en taxes municipales, 28% de plus en assurances, 21% de plus en électricité, 12% de plus en semences, etc.
Prêt pas prêt, le blé est parti
Une fois qu’on n’a plus de neige, le blé subi plus de variations de température
Depuis hier, on n’a plus de neige au sol, plus d’isolation. Le soleil, la chaleur est directement sur les feuilles comme si on venait d’ouvrir les rideaux de la grande fenêtre. Cette année, prêt pas prêt, le blé est déjà bien exposé.
Journée d’hiver
C’était relax et ça m’a permis d’agrandir mon cercle de connaissances
Notre Agrocentre organisait une journée de ski la semaine dernière. Une des rares matinées de l’hiver où le thermomètre indiquait -18 degré Celsius. On a discuté de tout et de rien sans parler du prix des grains qui s’effondre...
Au Québec aussi, la campagne gronde
En fait, la campagne gronde d’inquiétude
À la suite d’une saison difficile, on ressent les effets de la hausse des taux d’intérêt, accompagnée d’une baisse continuelle de la valeur de nos inventaires en silo. Ça gronde en dedans…
Fausse alerte
Le doux temps des derniers jours nous fait sortir de notre terrier. Le bruit de l’eau qui s’écoule du toit fait ressortir une légère montée d’adrénaline et de bien-être.
Le système alimentaire est malade
Le système explique très bien ses hausses de coûts et pourtant du côté des agriculteurs on se retrouve avec pratiquement la même part du gâteau sur la vente finale.
Déçu d’une conférence sur la qualité de l’eau
La qualité de l’eau n’a pas de rapport avec le choix des cultures, mais comment on les produit
Dernièrement, j’ai participé à une journée d’information sur la gestion des cours d’eau. Ça peut paraître répétitif à l’occasion dans mon cas, mais je reste toujours à l’affût de nouveautés tant du côté de la compréhension des enjeux, que des nouveautés dans les actions possibles.
