Avec l'ACEUM, on pourrait penser que la pression américaine envers la gestion de l'offre soit terminée. Or, rien n'est assuré de ce côté, selon le chercheur Rafael Jacob de la Chaire Raoul-Dandurand.
Selon Rafael Jacob de la Chaire de recherche Raoul-Dandurand, la pression américaine est encore là, malgré un fort appui envers l’ACEUM