Chuck Strahl a émis la déclaration suivante en réponse à une question soulevée à la Chambre des communes concernant une campagne épistolaire liée à la Commission canadienne du blé (CCB).
Les décisions au sujet du sort de la CCB devraient être prises au Canada par les Canadiens, et non par nos concurrents étrangers dans les marchés céréaliers, par l'entremise de l'Organisation mondiale du commerce (OMC).
La déclaration ministérielle émanant des réunions tenues à Hong Kong sous les auspices de l'OMC signifie que les agriculteurs de l'Ouest canadien garderont le droit de déterminer l'avenir de leur régime de mise en marché.
La CCB et l'agence d'importation de céréales, d'oléagineux et de denrées alimentaires de la Chine (COFCO) sont heureuses d'annoncer un plan conjoint visant la mise sur pied d'un centre technique et de formation à Beijing.
Face aux critiques du député David Anderson, le président du conseil d'administration de la CCB a vigoureusement défendu les efforts mis en oeuvre pour protéger les agriculteurs.
La campagne 2004-05 restera inscrite dans l'histoire de la CCB comme une année ayant présenté une multitude de défis tant aux producteurs qu'à leur organisme de commercialisation, nous dit la CCB.
La CCB a bien accueilli la décision d'un groupe spécial constitué aux termes de l'ALÉNA, selon lequel les importations de blé roux de printemps du Canada ne portent pas préjudice aux producteurs américains.