D'ici quelques années, les recommandations de fertilisation seront fondées sur des analyses en temps réel de la disponibilité de l'azote dans le sol, plutôt que sur les besoins approximatifs d'une culture.
Des essais dans Chaudière-Appalaches tendent à démontrer que sur un retour de prairie, le maïs donne le même rendement, avec ou sans fertilisation azotée.
Un professeur de l'Université Purdue nous invite à revoir nos grilles de fertilisation en tenant compte de la grande variabilité d'une ferme à l'autre.